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Maisuong's Blog

26 septembre 2010

Sans visage [chap 11/part 2]

Donc voila la 2e partie qui quand à elle est beaucoup plus longue et que je viens de finir à l'instant! Bonne lecture =]

Je précise pour les gens qui ont du mal à suivre (car j'avou ça manque d'explication sur le narrateur) eh bien ce chapitre est dédié à Semha, ce sera mon narrateur principal  :]

JE VOUDRAIS M'EXCUSER POUR LA MISE EN PAGE JE NE SUIS PAS ARRIVE A LA MODIFIER ELLE EST TOUTE SERREE ET UN PEU ILLISIBLE T.T

CHAP 11 (part 2)

             Je marchai à tâtons, dans ce couloir sombre qui nous servait de passage général entre toutes les pièces de notre maison. Dehors il pleuvait et je sentais l’air se glacé au fur et à mesure de mon avancée. Il ne me restait plus que cinq mètre…quatre…trois…deux…un… je poussais la porte et laissais échapper un cri de stupeur. Des cages, partout des cages s’entassaient les unes sur les autres, habitées d’animaux vivant parfois, mais le plus souvent morts. Je m’avançai petit à petit entre les cartons et les cages, poussant tour à tour chacune sur mon passage. Devant moi, éclairés par la seule lumière de l’ordinateur, deux hommes me tournant le dos étaient penchés au dessus d’une table d’opération. L’un tenant une paire de ciseau l’autre un scalpel, j’apercevais presque les gouttes de sueur perlant sur leur front plissé de concentration. Il était comme deux anges vêtus de blouse blanche au milieu de ce capharnaüm. Je m’avançai afin de mieux voir sans voir la cage qui était sous mon pied. Un bruit métallique s’échappa de cette collision. Immobile, je vis les deux hommes se retourner vers moi et enlever leurs masques qui leur cachaient la moitié du visage.

- papa ! dis-je désolé, je n’ai pas fais exprès !
- Ce n’est rien, me rassura-t-il, viens par ici je vais te montrer quelque chose.

Je m’approchai lentement tout en évitant cette fois les amas qui jonchait le sol  poussiéreux. Arrivé à leur hauteur, ils se poussèrent et me laissèrent contempler ce qu’il y avait sur la table. Je poussai un cri de stupeur.

- Mais c’est dégoutant ! M’écriai-je.

La pauvre souris amputée de ses membres continuait à bouger sur le plateau devant moi.

- regarde la se débattre, il en faut peu pour briser une vie. Ne serait-ce pas magnifique de créer un médicament, une recette miracle pouvant soigner toutes les blessures, même les plus profondes ?
- Mais ce n’est pas possible, dis-je hésitant devant l’excitation soudaine de mon père.
- Si quelqu’un trouvais le véritable fonctionnement de notre corps et était capable de le maitriser, bien sur que si ce serait possible. N’est-ce pas ?
- Ou..oui bien sur.
- Bien fiston, alors es-tu d’accord pour m’aider ?
- D’accord.

            

            

                   Je me réveillai en sursaut encore pris une fois de plus dans ses cauchemars incessant. Mon corps était couvert de sueur et mon cœur n’arrivait pas à retrouver un rythme normal. Je respirai fort tout en scrutant ma chambre pour vérifier une quelconque présence. Louka n’était pas là et n’était pas rentré dans ma chambre depuis la dernière fois. Ce changement de situation et de comportement de sa part m’avait déboussolé et depuis je m’interdisais de m’approcher trop près de peur que ca ne dérape. Je ne pouvais pas lui en vouloir, j’arrivai même à avoir pitié de lui et de me trouver ignoble de le rejeter comme ça. Seulement je n’avais encore jamais envisagé dans ma vie, et lui non plus à mon avis, de tomber amoureux d’un homme et encore moins de coucher avec. Moi qui avais déjà couché avec beaucoup de femme je ne pensais pas un jour me faire dominer.
            

            Après dix minutes d’essais infructueux au cours desquels j’essayais de me rendormir, je me décidai enfin à me lever pour aller trouver Louka endormi sur le sofa. Il avait l’air mort, le teint blanc presque pâle à la lumière de la lune. Je m’approchai de lui et m’asseyais. Il avait l’air si fragile qu’à aucun moment je n’aurais pensé avoir « peur » de lui. Sa présence me mettais mal à l’aise mais m’étais pourtant indispensable. Je chuchotai son nom doucement pour ne pas le réveiller trop brusquement. Il ouvrit les yeux doucement avant de me regarder d’un air étonné.

- Semha ?
- Louka… j’ai besoin de toi, je n’arrive pas à dormir, dis-je honteux.
- … qu’est-ce que tu m’offres en échange de ma présence salvatrice ? répondit-il en souriant innocemment.
J’hésitai une seconde avant de m’aventurer en terrain miné.
- qu’est-ce que tu veux ?
- Ce que je veux…hum… embrasses moi.

Il me regardait toujours d’un air calme et posé pendant que moi je sentais battre mon cœur comme un tambour. Je respirai un grand coup et approchai mon visage du sien jusqu’à poser mes lèvres sur les siennes pour les retirées presque immédiatement après.

- c’est tout ? dit-il d’un air déçut avant de se retourner dos à moi, j’aurai voulut un peu plus d’effort de ta part, tant pis.
- Eh attend… tu avais dis que…
- Si tu m’embrassais, mais ce que tu viens de faire ne peux même pas être qualifier de « baiser ».

         

              Exaspéré je le saisis par les épaules et plaqua une seconde fois mes lèvres sur les siennes. Cette fois je m’y attardai avec plus de passion et laissai glisser ma langue dans sa bouche. Celui-ci répondit à mon baiser plus que ce je ne m’y attendais. Je sentis une de ses mains se poser sur ma tête m’obligeant à prolonger notre étreinte. Je ne sais pas combien de temps cela a-t-il duré mais il me parut une éternité. Toujours près de moi il garda mon visage entre ses mains et me murmura un « c’est mieux » avant de se lever en direction de ma chambre. Je le suivais et me coucha à ses côtés. Collés l’un contre l’autre, il ne tenta rien et se contenta de me caresser les cheveux afin de m’aider à dormir.

*****

            

              Le lendemain, Sacha et les garçons se retrouvèrent dans la salle du conseil. Seul l’un d’eux restait  l’écart, accoudé à la fenêtre. Sacha regroupa les deux garçons restant pour justement leur parler de leur ami.

- Ecoutez les garçons, il va vraiment mal en ce moment, ya que moi qui m’en suis rendu compte ou quoi ?
- Non t’inquiètes pas nous aussi on a remarqué mais qu’est-ce que qu’on fasse, il est trop fier pour nous raconter ses problèmes cet imbécile.
- Tu veux qu’on le brusque ? plaisanta le deuxième interessé.
- N’importe quoi, moi je crois savoir ce qu’il a. Vous vous rappelez le garçon qu’il a recueillit chez lui ?
- Oui et alors ?
- Bah c’est depuis qu’il le connait qu’il n’est plus totalement normal non ?
- Tu penses que…
- Il l’aime ! lâcha Sacha.
- Ce n’est pas du tout ce que je voulais dire en fait, continua ce dernier. …parce que c’est à ca que tu penses toi ! s’écria le jeune homme. Comment est-ce que tu voudrais qu’ils deviennent gay, ahaha tu le connais aussi bien que moi, c’est impossible !
- Tout le monde peut changer, ajouta le deuxième garçon jusqu’alors resté muet.
- En plus vous croyez qu’il regarde qui de sa fenêtre la ? questionna Sacha pour bien faire comprendre qu’elle était sure de ce qu’elle avançait. Donc je vous propose un plan, écoutez…

*****

              Toute vêtue de blanc pour cette journée ensoleillé, Sacha s’approcha de moi un grand sourire ornant son visage. Malgré sa beauté, je n’avais jamais envisagé quoi que ce soit avec elle. Elle était arrivée au conseil comme la cadette, un an après nous, ce qui faisait d’elle plus notre petite protégée qu’autre chose.

- Qu’est-ce que tu fais ? me questionna-t-elle alors que j’étais en train d’observer Louka du haut de mon repère.
- Rien pourquoi ? Dis-je d’un ton innocent.
- Dis, tu n’as personne en ce moment ?
- t’es en train de me draguer ou quoi ? Plaisantai-je.
- Tu te crois irrésistible ou quoi ?faussement outrée, non je me demandai juste quand est-ce que tu vas vraiment avoir quelqu’un de manière serieuse.
- Quand j’aurai trouvé, pourquoi ?
-  Tu ne serais pas en train d’observer une fille à travers la vitre depuis tout à l’heure ?
- Euh… si, mentis-je sachant que ce serait le meilleur moyen de m’en sortir.
- Alors tu as trouvé quelqu’un c’est bien ce que je disais.
- Parce que tu espionnes des gens sans importance toi ? Je vais te dire quelque chose qui te feras avancer dans ta voix de l’amour, dit-elle en rigolant. Le fait de chercher quelqu’un du regard prouve qu’elle manque à ton champ de vision. Tu as alors une sensation de manque permanent et tu cherches son regards des yeux, tu aimerais qu’elle te regarde et qu’elle ait besoin autant de toi que toi d’elle. Tu as peur qu’elle ne te préfère à un autre mais tu ne dis rien, et c’est ça l’amour. Réfléchis à ce que je viens de te dire, bon je dois y aller ça à sonné ! Salut !
- Nan mais n’importe quoi, c’est quoi cette jeunesse, lui répondis-je en guise d’en revoir.

                  

                Son discours à l’eau de rose, cucul la praline m’aurait fais rire en temps normal mais cette fois ses paroles s’imprégnèrent dans ma tête comme un refrain. Je devais avouer qu’il ne me connaisse pas me rendait impuissant face à lui, je ne pouvais rien lui, rien partager de ma vie avec lui car la peur qu’il me juge vraiment tel que je suis m’effrayais. Pourtant avant qu’il ne me fasse sa déclaration je me sentais bien avec lui. Je me rendis soudain compte que le problème n’étais pas lui mais moi, j’étais indécis et ne pouvait me résigner à le laisser partir loin de moi. Je réfléchissais encore une fois à ce que Sacha venait de me dire avant de me rendre compte que quelque chose me manquait à cet instant précis et regardai une nouvelle fois par la fenêtre et baladai le parc du regard...

*****

            

             Les quatre membres du conseil marchaient en riant dans les couloirs. C’était l’heure du déjeuner et il n’y avait pas grand monde excepté eux. Soudain une silhouette familière se dessina au loin. Sacha tourna alors la tête vers ses deux complices pour qu’ils se tiennent prêt. En une seconde Louka se retrouva projeté après avoir percuté l’épaule de Morgan de plein fouet. Celui-ci surpris poussa un petit cri de surprise avant que Jordan ne se précipite sur Louka pour lui demander s’il allait bien.

- Ca va ? demanda Jordan inquiet.
- Oui oui merci, ca va.
- Tu es sur hein ? insista Jordan en se rapprochant un peu plus de Louka pour voir s’il n’avait rien.

Louka sourit une dernière fois avant de s’éloigner. Sacha espérait vivement que cette rencontre ça allait aider les deux jeunes gens.

*****

               

               Une fois rentré, je me déshabillai et allait me prendre une bonne douche froide pour me remettre les idées en place. C’était vraiment trop d’événement en une seule journée, d’abord le discours enflammée de Sacha pour me comprendre que je devais me trouver quelqu’un et m’y mettre sérieusement, ce qui m’avais fais réfléchir toute l’après midi. Et ce fut cette même après midi pendant laquelle nous avons rencontré Louka dans les couloirs. Je croyais pouvoir être le seul à lui parler, mais à voir Jordan s’adresser à lui, mon sang n’avait fais qu’un tour. C’est ainsi que je me rendis compte de ma jalousie excessive. Ce qui allait m’amener prochainement à faire la plus grosse mais aussi la plus belle connerie de ma vie. Je sortis de la douche, les cheveux en pétard et profitai de l’absence de Louka pour me balader la tête nue dans le salon. J’allais ensuite remettre mon habituel capuchon en l’attendant sur le canapé.

            

             Un bruit de clé se fit entendre, la serrure tourna et la porte s’ouvrit. Louka essoufflé entra dans la pièce. Je l’attendais stressé comme jamais, c’était en quelque sorte un bac avancé.

- bah, Semha ? qu’est-ce que t’as à être tendu comme un string ? il t’arrive quoi ? me demanda-t-il en souriant.
Je l’invitai à s’asseoir en face de moi pour mieux voir son visage.
- Tu étais sérieux quand tu as dis que tu m’aimais ?
- Nan pas du tout ça fait un mois que je me fou de ta gueule.
- C’est vrai ? dis-je effrayé.
- Mais t’es bête ou quoi ? je rigolais, bon qu’est-ce que ça fais ? Tu n’as plus besoin de moi ? tu veux que je parte ? c’est ça ?
- Non… j’ai beaucoup réfléchit cette après midi… et je me surprends moi-même à changer d’avis du jour au lendemain, un rire nerveux m’échappa, je suis d’accord pour tenter une histoire avec toi… mais est-ce que tu arriveras à m’accepter même sans me connaître et sans voir mon visage ?
- Ce n’est pas déjà fait ? se contenta-t-il de répondre avant de se jeter dans mes bras.

            

              Pour la première fois je n’avais plus peur de lui dire ce que je ressentais et l’embrassai. Je n’avais jamais remarqué avant comme ses lèvres étaient douces et agréables à toucher. Soudain je m’arrêtai et posa une question qui me trottai depuis un moment dans la tête.

- Et s’il s’avérait qu’en fait j’étais horrible ? Tu ne serais pas déçut ?
Louka me regarda avec de grands yeux avant de partir dans un fou rire incontrôlé.
- t’inquiètes pas j’ai déjà prévu cette hypothèse, arriva-t-il à articuler entre deux éclats de rire.
- Quoi ! tu as déjà prévu CA ! espèce de… donc tu crois que je suis moche ? tentai-je de lui faire avouer désespéré.
Pendant que Louka était mort de rire j’essayai de lui reposer la question en vain.
- Alors c’est ce que tu penses ? hein ?

Je n’eut aucune réponse de sa part excepté un rire sans fin qui nous plongèrent tous deux dans un état de transe second que les jeunes appelaient de nos jours « mort de rire »…

Je précise que je ne compte pas continuer l'histoire sur leur vie de couple monotone je vous rassure, ce serait bien dommage si cette fin marquait le début d'une suite d'histoire de couple ennuyeuse sur nos deux jeunes gens =] Donc le suspens continu ... (quelle phrase pourrie pardonnez moi xD)

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26 septembre 2010

Sans visage [chap 11/ part 1]

BONJOUR!!!! mouahahaha enfin de retour après ces belles grandes vacances, entre la plage et la montagne tout s'est bien passé et je n'ai même pas put profiter de ces vacances pour écrire donc voila un nouveau chapitre de SV en deux partie.

Cette première partie est presque inutile pour l'histoire mais permet de remettre les personnages à leur place car j'en ai pas beaucoup parlé et il se peut que vous les ayez oublié =] Mais heureusement la 2e partie est plus riche d'action xD sur ceux bonne lecture!

CHAP 11 [partie 1]

              Sacha était petite et était complexée de se manque de hauteur, n’atteignant pas les 1m65 et étant la plus petite de sa classe. Elle n’arrivait pas à se démarquer des secondes malgré son âge plus important. Arrivé en seconde l’année dernière on lui collait encore le visage de petite fille sage de cinquième. Heureusement l’année suivante son visage poupon changea et s’affina pour laisser apparaitre un visage radieux de jeune fille. La blondeur de ses cheveux et son teint bronzé lui donnait un air méditerranéen qui ne laissait pas ses petits camarades de classe indifférents. Tout d’abord effacée elle arriva rapidement à se faire une réputation d’élève tout aussi belle qu’intelligente. Jordan, bon vivant et président du conseil du lycée la remarqua vite et proposa son inclusion dans le groupe. Celui-ci était en effet composé de 3 élèves bien distinct tout d’abord par leur caractère mais aussi par l’apparence.

          -        Il ne manque plus qu’un quatrième membre, qu’en pensez-vous ? clama Jordan au reste de la petite salle de réunion.

      Fred, qui avait tout d’un garde de corps orienta ses larges épaules en direction de l’intervenant. Sa carrure était telle qu’elle lui valait une réputation solide de grand sportif, son rôle au sein du groupe passait des finances du matériel sportif aux installations. Même si le fait que les sportifs étaient réputés pour ne pas être des intellectuels Fred arrivait à tenir la barre et à gérer ses activités aussi bien qu’ils le pouvaient.

     -        Et bien pourquoi pas ? cela nous ferai surement de la compagnie et ça remettrai un coup de neuf aux membres sachant que « normalement » nous devrions quitter le lycée l’année prochaine, répondit-il.

-        Hum… se contenta d’emmètre Morgan assit confortablement dans un fauteuil au fond de la salle.

Morgan était le membre le plus sage mais aussi et malheureusement le plus lunatique. Ses connaissances des livres était aussi étendue que les femmes qu’il ne manquait pas d’expérimenter au fil du temps. Sa sociabilité lui valait des hostilités auprès de certains qui ne supportaient pas son ton hautains et ses regards supérieurs. Il arrivait pourtant bien à se fondre dans le groupe qui était ses seuls amis.

- Oui mais encore Morgan, soit plus précis, encouragea Fred d’un ton moqueur.

- Fred tu sais très bien que je n’aime pas être dérangé en lisant, lacha Morgan sur un ton de reproche.

- Euh, je te rappelle que tu l’a déjà lu 2 fois ce livre, nous fait pas croire que tu ne le comprends pas hein ? Intervint Jordan en souriant. Bon je suppose que tu es d’accord je cours lui demander, à plus les jeunes !

- Ouai à plus papi, répondirent en cœur les deux autres.

*****

            Cela faisait 4 mois que Sacha les avaient rejoint et étaient déjà complètement immergé parmi les garçons. Comme s’il se connaissait depuis longtemps chacun se disait tout et se faisait confiance, c’est ainsi que l’un d’eux leur raconta la relation qu’il avait avec l’élève qu’il avait sauvé deux mois auparavant. Sacha aurait parié corps et âme que cette relation ne se limitait pas à de la simple amitié mais elle avait beau essayer de le faire parler, son ami restait muet sur cette situation ambigüe.

      -        Tu es sur que tu ne veux rien me dire ? demanda Sacha aussi inquiète qu’intéressée.

-        Il n’y a rien a raconté, je ne peux rien te dire pour l’instant, même pour moi ce n’est pas clair, se contenta-t-il de répondre.

25 juin 2010

Anghell [chap 12]

ahhhhhhh j'ai enfin ecrit la suite!!!!...et oui les miracles existent =) bref cependant ce chapitre est assez court et peu interessant...JE TROUVE HELAS donc je compte me rattraper dans les jours qui suivent. Maintenant je suis en vacances donc temps oblige (même si je pars a partir du 17 juillet --') bref bonne lecture (et promis je vais m'ameliorer ^^")

Chapitre 12

Edward se retrouva devant l’entré un peu en avance. Il regarda la façade de la maison et aperçut une ombre à travers le rideau.

                     Assit sur le fauteuil en velours du salon, Angel sursauta au bruit assourdissant de la sonnette. L’imbécile qui sonnait n’y allait pas de main morte, ses oreilles allaient bientôt exploser s’il n’arrêtait pas dans les 10 prochaines secondes. Il descendit en courant les escaliers et ouvrit furax devant Edward, le doigt toujours appuyé sur la sonnette, un grand sourire aux lèvres.

- Imbécile, arrête ça! cria Angel le visage décomposé par sa course dans l’escalier et les oreilles démolies.

- Tu en as mis du temps, tu me fais entrer? demanda l’invité pas le moins gêner.

Angel ne trouva rien à redire et s’écarta avant de refermer la porte derrière eux. Il lui proposa de boire quelque chose ce que refusa son invité poliment avec un clin d’œil aguicheur : ce qui sous entendait que ce n’était pas d’un coca dont il avait envie.

Le propriétaire soupira d’autant d’impatience mais ne tenta rien pour le retenir. Edward lui avait déjà pris la main et entraîné derrière lui jusqu’à la chambre qu’il ne tarda pas à trouver.

                     Edward se retrouva dans la chambre, main dans la main avec Angel qui le regardait d’un air perplexe attendant la suite. Seul problème : quelle suite ? se demanda Edward. Il ne devait sûrement pas se comporter comme avec une fille. Il avait regardé quelques films gays avant de venir histoire de ne pas être largué mais il n’en menait pas large pour autant. Dans ses films, le plus grand se jetait littéralement sur le passif, lui arrachai ses vêtement et ils finissaient tous deux en train de copuler accoudé à une fenêtre. Le coup de la fenêtre devait sûrement être pour plus de sensation. Mais personnellement Edward n’avait pas vraiment envie de le prendre sur une fenêtre : tout d’abord parce qu’il se gèlerait les miches et ensuite parce qu’il n’avait pas envie de se faire épier de la rue et de se faire traiter de pédé le lendemain de sa première fois …triste sort pour un jeune homme comme lui. L’idée de se jeter sur Angel ne lui déplaisait pas pour autant, mais la vue de sa chemise le refroidi de sitôt. Il n’avait pas envi de lui arracher ses boutons de peur de se faire engueuler ni de se retrouver coincé dans le feu de l’action devant cette multitude de boutons. C’était d’un tu l’amour. Le temps qu’il ait finit de tout déboutonner son ami se serait déjà endormi depuis longtemps. Il resta donc immobile devant cette impossibilité d’aller plus loin. Même si son visage ne disait rien, il était au bord du gouffre.

Cela faisait cinq minutes que Lui et Edward se tenait debout main dans la main, et Angel commençait à sentir des fourmis. Mais qu’est-ce qu’il fou ! se demanda Angel qui avait perdu patience.

- Bon tu fou quoi? lança Angel exténué d’attendre à rien faire. Tu te décides à agir où on doit attendre la fonte des glaces?

- Mais… agir comment?! gémit Edward comme un homme déjà prêt à mourir.

- Tu te fous de ma gueule?

Angel avait plus envie de rire que d’aider le malheureux et laissa s’échapper un rire plein de moquerie sans pouvoir se retenir plus longtemps devant sa détresse.

- Mais ! Ce n’est pas drôle ! Je….

- Ahahaha, je te savais empoter mais à ce point là ! rigola Angel.

                  Le jeune hôte l’attira vers lui et le jeta sur le lit, d’une poussée de main. Soudain Edward vit Angel s’approcher dangereusement jusqu’à sentir son souffle sur son visage et son genoux entre ses jambes. Celui-ci commença à poser ses lèvres sur celle du jeune homme toujours immobile sur le lit, ne sachant une nouvelle fois que faire. Ainsi ses lèvres restèrent figées tandis qu’Angel essayait de percer cette barrière. Edward commençait petit à petit à céder du terrain jusqu’à ouvrir la bouche et à se laisser faire. Leurs langues se croisèrent et Edward put enfin savourer se moment qu'il attendait depuis longtemps. Cet excès de bonheur paraissait interminable quand soudain Angel voulut passer au chose sérieuse. Il se mit à déboutonner le jean de son partenaire et y introduisit sa main. La réaction de son ami allonger sous lui ne se fit pas attendre, un frissonnement parcourut son corps excité. Angel se défit alors de son pantalon encombrant ainsi que celui de son partenaire toujours couché sous lui.

                      Une bosse s’était déjà formée sous le boxer d’Edward qui commençait à sentir des fourmis dans son bas ventre. Une main experte s'y attarda et lui ôta la fine couche de tissus qui les séparaient. Elle commença dés lors de lents vas et viens avant d'accélérer la cadence jusqu'à faire jouir sa "victime". Satisfait du résultat Angel se positionna au dessus de lui et pénétra ses doigts dans sa bouche. une fois humide il les introduit non sans douleur en lui. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas ressentit cette douleur. Angel se put s'empêcher de frémir en voyant ce qu'il allait devoir s'enfoncer et qui ne pouvait pas rivaliser avec de simples doigts. Et bien comme on dit, quand on veut on peux, pensa-t-il. Hors de question que je renonce à cause d'une simple question de taille... Il guida lentement le sexe dur de son ami jusqu'à son anus avant de le glisser à l'intérieur. Ce ne fut pas tâche facile, et Angel dut insister pour s'ouvrir à quelque chose d'aussi gros. Il s'empala jusqu'au bout dans un sanglot et entreprit de bouger les hanches. De son côté Edward se laissa faire pas cette homme apparemment plus expérimenté que lui. Au moment de le pénétrer, Edward ne s'empêcha pas de remarquer l'expression de douleur sur le visage de son amant, il en pleurait. Edward voulut se redresser, essuyer ses larmes, le réconforter, mais les vas et viens d'Angel commencèrent subitement. Incapable d'échapper à la vague de plaisir le submergeant, Edward oublia les larmes de son ange brun et s'abandonna et se mit lui aussi à bouger le bassin. Surpris Angel laissa échapper un gémissement, tellement érotiques que Edward le prit pour un cris de plaisir et s'activa de plus belle. Angel, que la douleur envahissait plus les secondes passaient priait pour que cela cessent. Il sentait ses hanches et ses reins se scier. Soudain une vague de chaleur emplit son corps, son souhait s'était enfin réaliser, c'était la fin de se supplice interminable.

- Angel? ça va? demanda Edward inquiet de voir son camarade aussi blanc après tant d'action.

- Oui, passe moi un mouchoir s'il te plait.. et de la crème, dit-il non sans serrer les dents.

Edward s'exécuta et alla chercher le nécessaire dans la salle de bain. Pourquoi Angel était-il si mal en point après une simple partie de jambe en l'air? n'avait-il pas l'habitude? pensa Edward en fouillant les étagères. Dans la chambre, le jeune homme toujours étendu sur le lit n'en pouvait plus d'attendre, son corps le tiraillait à en mourir et cet imbécile qui campait dans la salle de bain semblait plutôt rêver que se dépêcher. Quand il arriva enfin, un paquet de mouchoir et un tube à la main, Angel soupira de bonheur.

*****

                 Quatre jours avait passé durant lesquels Angel réfléchit à la manière dont il allait organiser ses révisions de bac et son temps de "plaisirs" avec Edward. Maintenant il avait presque honte de traîner avec le jeune homme, et pour cause, le simple fait de dire le nom "Edward" l'horripilait sérieusement.

- Dit moi, tu ne voudrais pas changer de nom ou choisir un diminutif? demanda le mannequin à son amant lorsqu'il empruntèrent un chemin au retour du lycée.

- Euh... pourquoi? t'aimes pas "Edward"?

- nan pas vraiment, à chaque fois que je le prononce j'ai l'impression d'appeler le vampire de Twilight, tu sais ce pauvre vampire pâle comme la mort avec des croc en plastique?

- Celui qui est adulé par toutes les filles? évite de me comparer à lui s’il te plait, répondit Ed feignant de faire la grimace.

- ce mec me donne plus la gerbe qu’autre chose, alors trouve toi un autre nom. En plus j’ose même pas crier ton nom lorsqu ‘on... bref tu vois...

- tu as envie de crier mon nom? s’exclama Ed enchanté.

- Ce n’est pas ce que j’ai dis! tenta de se défendre Angel en vain.

- Si si! ahahahah

- Ah tais toi tu m’énerves!

- N’empêche que tu l’as dit!

Voila comment s’était terminé sa dernière discussion avec son « boyfriend » il y a deux heures quand il le ramena chez lui. « Go révision! » pensa Angel devant la monticule de papier et fiche de cours et s’accumulait depuis 2 semaines sur son bureau.

                 Edward, enfermé dans sa chambre et ayant pour seul compagnie ses livres de classe se lamentait en plongeant encore une fois sa tête dans son cahier d’exercice. il continua encore une heure avant de finalement céder à la tentation. Il saisit son portable et appela Angel. Il obtint un rendez vous après une demi heure de négociation intense dans un bar près de là.

                  Il fut prêt plus tôt que prévu pour être sûr de ne pas se faire attendre. Le bar en question s’appelait « chez Jo » et se situait au centre de la ville. Il n’était pas de ces bars vide ou à mauvaise fréquentation. Il était plutôt réputé pour ces excellentes bières mais surtout pour la décoration qui était pour le moins atypique. A l’entrée une énorme tête de cerf accueillait les visiteurs et une serveuse en bikini les accompagnait à une table. L’esprit western était resté enfouit dans cette taverne ce qui faisait le succès de l’endroit et le bonheur du patron. Angel n’arriva qu’après et retrouva son ami devant l’entrée. Une fois la tête de cerf franchit, Edward sentit son sang bouillonner quand l’une des joli cowgirl les accompagna jusqu’à une table libre avant d’entrer en discussion avec SON petit ami. Exclu, Edward se contenta de grogner dans son coin sans faire de scandale. « mais elle a pas autre chose à faire celle-la? » pensa-t-il exténuer d’être négliger de la part de tout le monde (sans exception). Une fois la gêneuse partie, Edward ne se gêna pas pour lui adresser un coup d'oeil haineux avant de se retourner vers Angel qui se réjouissait de sa réaction de mari jaloux. La soirée s'avérait démarrer en trombe...

LA fin est pourrie que Dieu me pardonne T-T désolé cher gens de passage .... =(

18 avril 2010

Sans visage [chap 10]

AHHHHHH enfin de retour (pour vous jouer un mauvais tour!), je suis contente d'avoir enfin eut le temps d'écrire la suite, bon même si elle est courte c'est déjà un bon début (^-^) !!Merci de continuer à lire malgré les retard incessant (frappez moi je vous en prie...euh nan en fin de compte je retire ayez pitié T-T). Bref alors voila une petite suite et j'espere avoir le temps de mettre la suite bientôt ainsi que Anghell (et peut-être un nouvel OS qui sais? hihi)

CHAP 10

             

              Je vis Semha attendre la suite de ma phrase comme si tout cela n'était qu'une grosse blague. Je m'arrangeai pour lui adresser un regard pénétrant tel un animal affamé prêt à lui bondir dessus. Il recula jusqu'à se coller contre le mur, je pouvais voir le panique dans son comportement, il se demandait sûrement ce qu'il devait dire ou faire pour ne pas envenimer la situation déjà critique.

- Si c'est une blague ce n'est vraiment pas drôle Louka, se contenta-t-il de me répondre.

- Ce n'est pas une blague, et si s'en était une ce serait vraiment une blague de mauvais genre tu ne crois pas?

- Alors si ce n'en ai pas une, je refuse. N'y a-t-il pas autre chose que je puisse faire pour toi?

- Non, bon tant pis, c'était un plaisir, dis-je feignant de le voir.

- Non attend! euh...

- Oui?

Je sentais qu'au fond de lui quelque chose le poussait à me retenir, il ne voulait pas se sentir seul le pauvre. Ça me faisait de la peine de le voir comme ça, mais je ne voulais pas perdre face à lui et le laisser avoir ce qu'il voulait. Un grand silence gênant s'installa, durant lequel Semha peinait à chercher une solution tandis que j'en profitai pour l'admirer. Je pouvais voir ses grandes mains emmêler leurs doigts nerveusement, ses lèvres rosées tremblaient sous la pression, son torse large secoué par une respiration accélérée et ses jambes longues et fines se croisant et se décroisant, ne pouvant pas rester en place. Mes instincts de mâle avait mis en éveil mes sens et mon corps tel que je ne pus résister longtemps devant cet homme que j'admirais. La situation était délicate, je ne pouvais décemment pas prendre un homme qui faisait une tête de plus que moi sans son consentement. Malgré cela, je ne pouvais plus tenir et envoyai en l'air mes bonnes manières, ma morale et mon savoir vivre pour me transformé en bête sauvage et lui sauter dessus. Surpris il ne résista pas et tomba lourdement sur le canapé. Je me redressai au dessus de lui et saisi sa bouche avant d'y appliquait la mienne. Je ne voulais pas qu'il me déteste, mais j'étais comme... possédé, la possibilité de m'arrêter semblait s'éloigner de plus en plus. Par respect je me surpris à ne pas lui enlever sa capuche et à ne pas toucher à sa veste. Je me contenterai du bas pour cette fois,pensai-je aveuglé par mes envies. Ma main déboucla sa ceinture et alla se glisser dans son boxer. Il protesta, et remua en me criant d'arrêter sans pour autant être violent. Ses bras tentèrent vainement de me repousser mais je voyais bien qu'il n'osait pas me frapper de peur de me faire mal. Peut-être pensait-il que je n'était pas dans mon état normal... et je le pensais aussi vu que j'étais sur le point de violer sans vergogne la personne qui m'avais sauvée 2 mois auparavant. J'arrachai maintenant son pantalon et commençai à m'occuper de son entre jambe.

             A ma grande surprise, celui-ci ne réagissait pas. Semha profita de mon moment d'inattention pour sauter du canapé et aller s'enfermer dans sa chambre. Je le vis à temps et m'élançai à sa poursuite. La porte se refermai et j'arrivai à glisser mon pied dans l'entrebâillement. Une lutte acharnée débuta entre moi, le corps poussa contre la porte et le pied endolorie, et Semha, le souffle coupé et tout son corps appuyé contre la porte. Durant ce temps d'effort je me rendit compte petit à petit de la bêtise que j'étais en train de faire. Je suis devenu fou ou quoi? m'exclamai-je.

-Écoute Semha, je suis désolé, je sais pas ce qui m'a pris. Je suis vraiment désolé, on peux parler?

Soudain la porte céda et je pus enfin entrer. Des Fourmies prirent mon pied endolorie d'assaut à un tel point que j'avais l'impression d'avoir eut le pied couper. J'entrai péniblement en boitant. L'adolescent encapuchonné était assit sur le lit, les mains entre les cuisses attendant que je me calme. Je m'approchai et m'asseyait à côté de lui.

- Qu...qu'est-ce qui t'a pris? demanda-t-il traumatisé.

- Je sais pas...

Nous étions trop proche. Son souffle s'échouait sur ma nuque et sa respiration dégageait quelque chose de terriblement érotique. Mais le pire de tout ça était son pantalon manquant que j'avais enlevé cinq minutes avant sur le canapé. Ses jambes étaient immobiles devant moi, c'était presque si elle ne me criaient pas "vient me caresser". Je fermai les yeux, évitant ainsi tout contact visuel avec ces merveilles de la nature. Au bout de dix minutes de supplice, mes instincts animaux revint à la charge et je renversai Semha sur le lit et repris la ou je m'étais arrêté.

Ma main entre ses cuisses descendit rapidement et je me retrouvai les doigts enfouis en lui. Ses cris retentissaient dans la chambre. Je me retirai alors et le repénetrait, cette fois pour de bon. Je ne m'arrêtai qu'au bout de trois heures...

*****

                Toujours les yeux fermés, ma main glissa sur les draps et chercha le signe d'une quelconque présence. Rien. La personne présente a mes côtés cette nuit était déjà parti. Rien de plus naturel quand on vient de se faire violer. J'ouvris péniblement mes yeux en faisant l'effort énorme de soulever ce qui me servait de paupière. Une fois mes "rideaux" oculaire ouvert je tentai de me relever lentement épuiser par mes débats d'hier soir. Mon avant bras avait du mal à se soulever et mes poignets ne se tournaient plus sans un rictus de ma part. De belle courbature en perspective. Une fois les pieds au sol, mes yeux commencèrent à tourner et de petites étoiles me bouchèrent ma vue déjà assez restreinte. Je secouai la tête décidé à me lever une fois pour toute et appuyai de toute ma force. Mon cerveau se mit à bourdonner et mes leçon de physique sur le travail d’une force me revint. « Un objet immobile à ses forces qui se compensent », j’en déduis donc que mon poids compensait la force qu’exerçait le sol sur moi... c’était vraiment navrant de penser à une chose pareil à à peine 9h du matin. J’arrêtai de me triturer la cervelle et marchai jusqu’à la porte. Personne. Avais-je fais une énorme erreur en revenant ici? Oui sûrement pensai-je en voyant la salle de séjour vide de vie humaine (et animal en passant). Le calendrier affichait samedi ce qui me remis de bonne humeur en un instant. Par chance, ma professeur de mathématiques avait décidé d’aller faire un stage de secourisme ce jour-ci afin de pouvoir « nous sauver en cas de danger » disait-elle. Sincèrement pour rien au monde je n’aurai voulut me faire masser la cage thoracique par un monstre sanguinaire.

             Une fois habillé et lavé, c’est à dire après un bon bain d’une demi-heure en utilisant un maximum d’eau chez mon hôte je me mis à préparer le repas. Semha allait sûrement rentré, croyant que je serai parti depuis longtemps. Eh bien non! je serai là à son retour et peut-être dans un mois aussi. J’avais décidé de rester, avec ou sans son consentement. De toute façon je savais que si je m’en allais il viendrai me chercher trois jours plus tard, me suppliant de revenir. Pauvre garçon. « nan mais je suis méchant alors que je viens de le violer » pensai-je sans pour autant m’apitoyer sur son sort. Ce n’était pas un acte de cruauté comme certains peuvent le penser mais d’amour. Si quelqu’un savait depuis combien de temps j’ai envie de lui sans qu’il ne le sache. Eh oui mesdames et monsieur, l’amour rend fou. Maintenant que j’y pense, peut-être que Semha aura oublier de mettre sa capuche en revenant et je pourrait enfin voir son visage. Cette perspective me poussa à m’activer aux fourneaux de plus belle, tout devait être parfait, histoire de me faire pardonner. Soudain le verrou tourna et la porte s’ouvrit. Hélas mes espoir se réduirent en cendre à l’instant ou un homme encapuchonné franchit la porte. Celui-ci fut apparemment plus surpris que moi et poussa un cri en me voyant.

- Merci ça fais plaisir, dis-je médusé de l’effet que je lui avait fait, sinon bienvenue à la maison.

- ... qu’est-ce que tu fais encore la? me dit-il d’un ton plus agressif que d’habitude.

- Je te fais à manger: Escalope de dinde, riz basmati et sauce crème fraîche champignon. Alors tu t’installes?

             Il hésita avant de s’approcher doucement de moi. Son parfum de vanille mélangé aux fruit rouge (venant probablement d’un gel douche) me laissa rêveur mais je m’efforçai à rester de marbre, du moins, en apparence. Il alla s’asseoir sur une chaise et ne bougea plus. Les mains entre les cuisses, les jambes croisées et la tête baissée, il attendait comme un enfant punis que sa mère lui servent le repas. S’en était touchant. Je le servis et m’installai en face de lui.

- bah vas y manges! t’inquiète pas j’ai pas empoisonné la nourriture, l’incitai-je la bouche plein de riz.

- Je n’ai pas très faim.

- Quoi? tu ne veux même pas faire honneur à ces mets délicieux préparés avec mes soins? Bien il va falloir employer la manière forte.

J’approchai ma chaise de la sienne et saisis sa fourchette. Je le vis tressaillir. Je ne m’arrêtai pas pour autant et lui mis le couvert devant la bouche.

- Allez! une cuillère pour papa, m’exclamai-je en souriant.

Semha fit une grimace et vit qu’il était coincé. Il n’eut pas d’autre choix que d’ouvrir la bouche dans laquelle je me fis un plaisir d’enfourner une bonne dose de riz aux champignons. Je le vis essayé de rester contrarier mais l’illusion ne dura que peu de temps avant qu’il n’ouvre automatiquement la bouche pour en redemander.

- Allez la dernière bouché! Miam! dis-je l’air amusé. C’est bien.

Je pris une serviette et lui essuya la bouche comme une mère aurai fait avec sa progéniture. A peine lui avais-je retirer la serviette du visage que je profitai de ce moment de flottement pour saisir son menton entre mes doigt et appliquer ma bouche sur la sienne. Surpris, il recula et se leva précipitamment de sa chaise la renversant au passage. Nous nous regardâmes un instant avant de me lever et de débarrasser sereinement comme si rien ne s’était produit. C'était terriblement amusant de le voir dans cet état là, lui qui était d'ordinaire n'était pas gêné ni timide, ce revirement de personnalité lui donnait un charme fou. D'ailleurs, moi qui étais d'ordinaire calme et gentil, je devenait agressif et possessif, s'en était presque effrayant. Il ne me laissa pas le temps de lui dire au revoir qu'il partit en trombe pour ses cours de 14 heure.

30 octobre 2009

sans visage {chap 9}

ARRRGGGG Les enfants je vous annonce mon grand retour avec ce fameux chapitre ><...ui ui j'ai décroché de mon jeu pour écrire à nouveau u_u (soupirez vous en aurez bien besoin) bon j'ai commencé par SV et bientot je ferai la suite de Anghell (don't worry mes amis)

ori-chan: sorry pour l'attente :)

hana-chan: idem ><

CHAP 9:

            Mes yeux s'ouvrirent avec difficulté quand le lendemain matin je dut me lever. Les évènements de la veille m'avait choqué et empêcher de dormir confortablement. Ma seule envie était de refermé les yeux et de retomber dans un sommeil profond. Je restai donc prostré sous ma couette, espérant que Semha ne vienne pas dans la chambre. Mes sentiments étaient maintenant flous dans ma tête et j'avais du mal à mettre le point sur tout ça. Depuis que je vivait avec lui une étrange attraction s'était installé entre nous, une relation étroite sans passé dans le domaine intime. Il fallait un rien pour que cela se fasse, et effectivement cela s'était produit la veille. Étais-ce un moyen de me montrer ses véritables sentiments? Je tournai cette question dans ma tête un bonne heure avant de me lever, ma décision prise sur l'avenir de notre relation. Je sortit de la chambre simplement vêtu d'un bas de pyjama et me dirigeai vers lui à pas lent. Je le voyais de dos s'activer longuement à la préparation d'une pâte étrange. Je m'approchai doucement tel un lion près d'une gazelle et lui sauta dessus au même moment ou ma proie se retournait, un verre de lait à la main. Le liquide se répandit sur le sol tandis que les bouts de verres s'éparpillèrent à leurs tour.

- Oh!, excuse moi!

- C'est rien , me répondit-il avec ce sourire charmeur dont il avait le don.

Ses yeux croisèrent les miens dans un échanges intense auquel je mis un terme ne premier.

- Tu vas bien? bafouillai-je en détournant les yeux, incapable de tenir plus longtemps.

- Oui merci viens t'asseoir.

              Je déjeunai, mon nez presque trempant dans mon lait, les joues rosées et le cerveau complètement embrouillé. J'osai quelques regards au dessus de mon lait pour voir comment il se sentait... Étonnamment pas le moins gêner du monde. N'y avait-il que moi pour être choqué? Peut-être était-ce à mon tour de faire l'autre pas qui devait nous relier l'un à l'autre? Je soupirai un grand coup et finissais mon lait d'un trait. Je me précipitai ensuite dans la salle de bain sous l'oeil incrédule de mon ami pour pouvoir me faire beau et ne pas louper mon entrée en matière. Quand j'eux fini de m'habiller et de me laver les dents, je retournai dans la cuisine où était toujours Sehma, en train de faire la vaisselle énergiquement. Je m’approchai une deuxième fois de lui et posai une main sur son épaule afin de lui signaler ma présence. Il se retourna et je lui fis mon plus beau sourire avant de l’embrasser. Ce pour quoi je m’étais préparé avec tant de ferveur ne dura qu’une seconde, le temps que Semha se rende compte de la situation et me repousse brutalement avant de me regarder d’un air incrédule. Il était à la fois surpris et choqué. Je me retrouvai encore une fois seul, désemparé et honteux.

- Je... je suis désolé, je ne sais pas ce qu’il m’a pris, tentai-je d’articuler.

- Euh, ce n’est rien, tu as dû avoir la tête en l’air, voilà tout. Même si je dois t’avouer que cela m’a surpris, fit-il en souriant.

Son sourire m’acheva comme pour clore l’incident et je me précipitai dehors, saisissant mon sac au passage avant de prendre le chemin du lycée. J’étais rouge de honte, la tête enfouie au maximum entre les épaules, le pas traînant. Comment avais-je put être aussi bête, il ne devait sûrement pas se souvenir ni être complètement conscient de ce qu’il faisait la veille. Moi qui croyais bêtement qu’il allais m’accueillir à bras ouvert. J’avais pourtant réussit à franchir le pas, à ignorer mon dégoût pour les hommes après ce que l’on m’avait fait. C’était presque incompréhensible que je me soit rendu compte de mes sentiments pour cet inconnu en une seule nuit, sans compter que c’était un mec! Je devait être devenu fou, sa gentillesse me faisait perdre la tête. Je viens de me faire jeter... pensai-je las. Étourdi par la préparation du petit déjeuner je ne vis pas clairement Louka s'approcher de moi et m'embrasser. Sous le choc je ne trouvai rien à redire d'intéressant, je voulais le questionner, lui parler de ce qu'il venait de se passer, je ne voulais pas qu'il s'en aille en laissant ces faits de côté. Mais étrangement aucun mots, aucune phrase censée ne sortis de ma bouche. Je le regardai filé, et partir vers le seul lieu où il m'étais impossible de lui parler. Je décidai, n'ayant plus d'autre choix, de l'imiter et de me rendre en cours.

*****

*****

Seul, au milieu de l'allée je traînai le pas, tel un cancre, voulant essayer d'arriver le plus au retard possible afin de se faire virer. Malheureusement je ne réussis pas mon coup et me fit accueillir sous une pluie de reproches. Je me retrouvai au premier rang, face à ma professeur enragée. Mes yeux cernés tombaient et une espèce d'étrange insomnie me mettait dans un état de demi inconscience. Au bout d'une demi heure, ma feuille contenait un grand nombre de blanc dut à mes moments d'absence. L'attente fut longue mais la liberté me tendit les bras au bout de deux heures ininterrompues durant lesquelles j'étais resté dans un coma profond.

Une fois arrivé au réfectoire avec mes amis, le stresse s'empara de moi. Mon corps tremblait malgré mes tentatives désespérées pour me contrôler. Je redoutai de le rencontrer, certes je ne saurai pas le reconnaître, mais la perspective de me faire observer sans le savoir me donnais la chair de poule. je me mis a marcher à pas lents vers, la tête baissée vers mes pieds. ma bouche resta fermée pendant tout le repas, seule ma tête gigotait de temps à autre pour essayer d'apercevoir un regard suspect. J'avais l'impression d'être épié, observé, par des regards moqueurs. Je finissais vite mon assiette et m'en allai en m'excusant auprès de mes amis plutôt inquiet de mon comportement. Fiona vint me rejoindre en fin de journée près de la grande grille où il m'arrivait souvent de flâner. Posé sur le banc, je n'osai pas rentré à l'appartement où Semha m'attendait certainement de pied ferme.

- Louka! qu'est-ce que t'as?

- Je peux venir chez toi ce soir? L'implorai-je comme je savais si bien le faire.

- Oui, mais tu as intérêt à me dire ce qui ne va pas!

Une fois arrivée chez elle et après avoir pris une bonne douche, nous nous essayâmes et me lançai à lui raconter ce qu me tracassait. mes inquiétudes se dissipèrent au fil du temps durant lequel je parlai avec ma meilleur amie. C'était la seule personne avec qui je pouvais parler librement de tous mes tracas et mes problèmes. Elle resta assise sur son lit à m'entendre gémir de mille et une souffrances, pendant des heures et des heures. Étonnement je ne lui avais pas seulement raconté mes problèmes de la journée et de la veille mais j'avais aussi repris une multitude de mini soucis datant de cinq voir dix ans sur lesquels je voulais m'acharner. Au bout d'une heure, mon discours commençait à tourner en rond et filait dans le monologue absolu. Fiona gardait les yeux semi-ouvert de sorte à me voir un minimum mais son esprit était déjà ailleurs. Pour lui rendre service je lui proposai de s'allonger et d'éteindre sans pour autant arrêter de parler. Même si son oreille attentive était parti en vacances, elle arrivait toujours a glisser un mot d'approbation à la fin de mes phrases en guise de réponse. La conversation se prit fin quand je n'eu pour réponse qu'un ronflement.

Le lendemain une flemme énorme m'enlaça et m'obligea à rester au lit, par la force s'il le fallait, ce qu'elle n'eut pas besoin de faire vu l'énergie que j'arborai ce matin. Fiona vint tenter sa chance sans grand succès. Seul un grognement arrivait a traversait ma gorge, et encore, je le faisait de bonne volonté. Elle abandonna bien vite en voyant ses efforts réduits en une fraction de seconde par un de mes horribles râle matinal qui avait le don de la décourager. J'entendis la porte se fermer et je put enfin savourer le reste de ma mâtinée déjà entamée.

Treize heure cinquante cinq..."ahhhhh!", ma couette qui me gardait du froid depuis le début de cette longue hibernation vola à l'autre bout du matelas et je me levai d'un bond, couru jusqu'à la salle de bain et pris un peigne. Je me mis alors à faire une de mes grandes habitudes inavouable même au pire porc sauvage de campagne, ma brosse à dent dans une main, mon peigne dans l'autre je m'activai à améliorer mon allure tout en me concentrant sur la cuvette qui était alors en dessous mes fesses. Si Fiona ou qui que ce soit d'autre venait à me voir dans cette position là je croit que ma fierté en prendrai un coup et que comme tout samouraï qui se respecte ma conscience me dicterai de rester cloîtré chez moi pour le restant de mes jours. heureusement pour moi, aucun individu louche ne se trouvait dans les parage et je pu partir au lycée.

*****

Cela faisait trois jours que je n'avais pas vu Louka. Aucune nouvelle, pas une fois je ne l'avais vu au lycée, à croire qu'il me connaissait et qu'il pouvait m'éviter à sa guise. Moi qui n'était pourtant pas très sociable, sa présence me manquait et je surprenais à regretter nos soirée télé avec un plateau pizza. Je me retrouvai alors seul sur mon canapé, mon plateau pizza coca sur les genoux et la zapette sur l'accoudoir. Mon regard blasé fixait les images animées qui défilaient à grande vitesse sur l'écran. Dès demain je décidai de le retrouver et de me faire pardonner même si je ne savais pas de quoi. Le plus étrange étaient ces cauchemars incessant la nuit qui m'avaient repris alors qu'en temps habituel, en dormant avec lui, ceux-ci avaient disparu. ce retour soudain m'avait obligé à enchaîner nuits blanches sur nuits blanches ce qui expliquaient mieux les cernes qui s'incrustaient un peu plus de jour en jour sur mon visage.

Le matin arriva vite. Je me préparai et emportai un sweat noir à capuche dans mon sac déjà pré rempli par tous mes manuels de sciences. je passai ma journée en compagnie de mes amis et en profitait pour leur expliquer ma situation plutôt difficile à leur expliquer. La moitié c'est à dire 2 d'entre eux ne comprirent pas, heureusement que les filles étaient nées sous une bonne étoile et la petite blonde put m'aider sans soucis:

- Et bien c'est simple, tu vas t'excuser et l'affaire est finie! déclara-t-elle d'une traite.

- Plus simple à dire qu'à faire, je sais même pas où il est.

- Bah t'avais qu'à héberger un garçon que tu connaissais, ça t'apprendra à aider des inconnu.

- En même temps ton histoire de garçon torturé est assez étrange, rajouta le garçon à coté de moi.

- Oui, c'est vrai ça, tu nous le présente quand? insista la petite blonde à mes côtés.

- Un jour, si je le retrouve, essayai-je de dire pour dissiper le sujet. Bon j'y vais ça va sonner, à plus.

Je m'éloignai non content de moi d'avoir réussit à ne pas approfondir le sujet.

Après les cours je filai en vitesse devant la grande grille et revêtit mon sweat avant de faire le guet. Louka arriva cinq minutes plus tard en même temps que la marée d'élèves qui occupait le lycée. Il était accompagné d'une amie que j'avais déjà vu auparavant mais dont je ne connaissais pas le nom. Je le suivis et l'appela. Il se retourna avant de partir à grande vitesse en entraînant son amie par la main. Je dut me résoudre à courir derrière lui jusqu'à arriver à son niveau et à lui barrer la route.

- mais qu'est-ce que tu fais! cria-t-il.

- j'aimerais te parler, t'as deux minutes?

Il regarda son amie pour lui demander son accord avec un air qui semblait lui dire de le retenir.

- Oui vas y on se voit plus tard, dit-elle en souriant devant le regard dépité de Louka qui avait tout misé sur elle.

- Bon Okay, soupirât-il, à tout à l'heure. Ou est-ce qu'on va, demanda-t-il après le départ de sa camarade.

- chez moi, viens.

Comparé à sa dernière visite , mon appartement était largement tombé en ruine, manquant des soins de nettoyage de Louka qui était d'une redoutable efficacité. Il arriva à s'asseoir malgré tout entre les emballages de pizza et les sac poubelles que je n'avais pas encore descendu depuis une semaine. Il me regarda et attendit que j'entame la conversation.

- Hum, désolé pour le bazar, j'ai pas eu le temps de ranger, tentai-je de me justifier sans succès. Tu veux manger quelque chose?

- Non, dis moi plutôt pourquoi tu m'as fais venir qu'on en finisse.

- Euh... et bien je voulais m'excuser, je bafouillai devant son regard impénétrable en imaginant qu'il me demande pourquoi je m'excusai ce qui aurait été un drame car je ne le savais même pas moi même.

- Ouai Okay, c'est tout? parce que Fiona m'attend.

- Ah ton amie... reviens vivre ici! lançai d'un jet.

*****

Il s'excusai, je n'en croyais pas mes yeux, alors que c'était à moi de m'excuser pour mon comportement déplacé, c'était à ne plus rien comprendre. je gardai le silence avant d'essayer de dissiper le malentendu.

- Ouai Okay, c'est tout? parce que Fiona m'attend, dis-je l'air pressé.

- ah, ton amie...reviens vivre ici!

Je n'en croyais pas mes yeux, il s'excusai et me demandai de revenir alors que rien ne le poussait à me demander ça. Je me devais de le remettre dans le droit chemin. Pourtant sa façon de s'excuser et sa mine détruite me rendais encore plus accro. je devais en finir au plus vite vu qu'il n'avait assurément pas compris la nature de mes sentiments.

- je t'aime, lâchai-je de but en blanc.

- euh... pourquoi me dis-tu ça? demanda-t-il apparemment déboussolé.

- je te le dis c'est tout.

- Je suis désolé.

- Oui je sais tu n'aimes pas les mecs.

- c'est pas ça, c'est juste que je ne veux sortir avec personne, je ne suis pas sociable.

- Bien sûr que si tu es sociable! voilà que je prenais sa défense, de mieux en mieux...

- Tu ne me connais pas, je suis différent, que tu ne me connaisses pas me rend simplement plus gentil. Tu ne vas quand même pas sortir avec un inconnu?

- Et alors? toi tu as bien hébergé un inconnu.

- La question n'est pas là, en plus je fais des cauchemar je suis pire qu'un enfant. reviens déjà vivre ici, on verra après ...s'il te plaît.

- Tu veux que je revienne pour t'éviter de cauchemarder? qu'est-ce que ça va m'apporter?

- Qu'est-ce que tu proposes, je suis un peu perdu, tout ce que je veux c'est que tu reviennes, me dit-il exaspéré, lui qui n'était pas préparé à tant de difficulté dans son plan. Il me vint alors une idée plutôt révolutionnaire pour mon simple esprit que je me dépêchai de proposer à mon hôte plutôt gêné.

- Et si on faisait un échange de bon procédé?

- c'est à dire? fit Semha soudain plus intéressé.

- Tu couches avec moi, en échange je reste avec toi pour t'éviter de mauvaises nuits? qu'en penses tu?

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7 août 2009

Sans visage [chap 8]

Yo! Bon bah voila un new chapter!(english oblige) euh je sais pas pourquoi, je crois que j'ai eu beaucoup d'idée pendant que je dormais et donc je sais pas si ça pars pas en cacahuète (enfin pas tout de suite) sinon merci pour vos commentaires, et contente que ça vous plaise (faut remercier les lecteur de temps en temps!)

PS: Par contre vous allez voir j'ai décrit quelque chose de la vision de Semha et je voulais juste dire que ce n'est peut-être pas aussi simple que ça, ce n'est peut-être pas ce que vous pouvez pensez à première vue. Enfin bref tout ça pour vous dire de réflechir xD même si j'ai utilisé beaucoup de mots éloquants(vous verrez^^) Sur ceux bonne lecture! ah encore une chose! je ne serai peut-être pas là pendant trois semaine, j'essayerai d'emporter l'ordi mais rien n'est sûr donc si je n'y arrive pas ...PATIENCE xD

CHAP 8

             Je restai figé sans rien faire, sans rien dire. Je voulais avancer mais je paraissait l’effrayer. Il était là, recroquevillé sur lui même, dos au mur, la tête entre les mains. Il pleurait, respirai très vite. Je le vis relevé la tête et me regarder. Que lui était-il arrivé? Des larmes roulaient sur la partie de ses joues que je pouvais voir, sa peau était blanche à faire peur et de fines égratignures saignantes marquaient ces bras. Alors que j'essayai de m'approcher pas à pas, je le vis qui se collai au mur, comme s'il voulait s'éloigner de moi encore un peu plus. Il agissait comme un petit chat coincé entre la fourrière et un mur, ne me reconnaissait-il pas? Pourquoi avait-il peur de moi? je continuai d'avancer lentement essayant de ne pas prendre en compte ses agissements étrange qui me mettaient mal à l'aise jusqu'à ce que je sois assez proche pour m'accroupir et pouvoir le toucher en tendant le bras. Je ne fis pas de gestes brusques, avançant ma main avec une sorte de douceur maternelle. D'un seul coup, son regard se fit plus doux et il leva la tête timidement pour me regarder. Je m'efforçai de sourire mais mes lèvres tremblaient et mon air qui se voulait rassurant tournait au désastre. Malgré tout je le vis se pencher un peu, beaucoup, puis se jeter littéralement dans les bras.
Il pleura pendant un long moment durant lequel je lui caressai la tête et les épaules en lui chuchotant des mots apaisants. Après une longue pause, je l'incitai à se relever et aller se coucher. Sa chambre n'avait pas été épargnée par les dégâts, sa table de chevet n'était maintenant qu'un amas de bois surplombé de bout de verres cassés qui, auparavant, servait de lampe. Je l'aidai à s'installer dans les draps défais et m'apprêtai à partir quand me senti retenu par sa main hésitante. Le message passa et je m'installai à ses côté. Sa tête vint se nicher dans mon cou et je refermai mes bras autour de lui comme le faisais ma mère pour m'endormir.

                Le lendemain je me réveillai à ses côtés, son corps toujours lové dans mes bras. Je le regardai dormir un moment, sa cage thoracique se soulevait doucement contre mon ventre, je me sentais à la fois apaisé et angoissé par ce qui s'était passé la veille. Je me séparai de son étreinte et referma doucement la porte derrière moi. La pièce à laquelle je faisais face ressemblait plus à un chantier en pleine démolition qu'à un appartement de jeune lycéen. Je passai le reste de la matinée à ranger ce qui était par terre et à jeter les objets cassés: vases, verres, vaisselle, le plus étonnant était la présence de couteaux sur le plancher du salon. Ils étaient plutôt loin de leur tiroir d'origine ce qui signifiait que mon colocataire les avait soit lancés soit laissé tombé dans une bagarre. Je penchai aussitôt pour le deuxième hypothèse qui me paraissait plus plausible car j'avais du mal à l'imaginer lancer une arme tranchante sur quelqu'un alors qu'il pouvait simplement aller se battre en corps à corps avec l'avantage d'être armé. Quand le salon fut a peu près en état, je me mis à la concoction d'un bon petit déjeuner afin de le mettre le plus à l'aise possible à son réveil. Au même moment j'entendis la porte grincer et vis Semha entré d'un pas hésitant. Tête baissée, le teint encore pâle il vint se glisser sur l'une des chaises sans dire mot. Il était encore trop tôt pour lancer la conversation sans le brusqué et je me contentai de lui servir un chocolat chaud accompagné de crêpe au Nutella. Il mangea sans rien dire. Moi, je m'étais assis en face de lui, et le regardai finir son assiette. Une sorte de tristesse s'empara de moi, lui qui était si souriant le matin, était devenu une loque humaine,un zombie sans âme. Pas un mot, pas un regard. Je débarrassai et le suivit qui alla s'asseoir lourdement sur le canapé. Une sérieuse discussion s'imposait et peu importe son identité, je devais savoir ce qu’il s’était vraiment passé.

Assis à ses côté je le regardai, je ne savais pas ce qu’il regardait. A dire vrai son regard visait le sol nettoyé quelque minutes plus tôt, n’observant rien de précis, il restait là, sans rien dire, sans rien faire, les main sur les genoux, la tête baissée. J’essayai une approche et, voyant qu’il ne réagissait pas je décidai d’agir et de poser une main sur son épaule. Il frissonna à mon contact mais ne tourna la tête ni ne fit signe de m’avoir remarqué. J’entamai la conversation, espérant une réponse de sa part.
  - ça va? commençai-je en posant une question facile.
  - oui, me souffla-t-il.
  - tu as mal quelque part?
  - Non, continua-t-il en monosyllabe.
  - Dis moi... je ne veux pas te brusquer, mais il faut que tu me dises ce qu’il s’est passé.
  - Rien.
Moi qui n’avais pas un caractère très patient je me forçai néanmoins à reposer ma question.
  - Je sais que tu as l’air plutôt déboussolé mais il faut que tu me racontes...
  - ...
  -Parles moi Semha! je peux pas deviner! lançai-je exaspérer.
  - Rien je te dis. Ne t’inquiète pas. Il n’y à rien... il n’y à rien, répéta-t-il comme s’il voulait se persuader lui-même.
Je soupirai complètement perdu, j’hésitai entre le forcer, ce qui l’aurait encore plus bloquer, ou patienter.
Je décidai de patienter, n'ayant pas la force de lui faire avouer des informations.

*****

               La journée se déroula dans le silence, Semha s'était contenté de regarder la télé et de s'enfermer dans sa chambre. Il ne m'avait quasiment pas parlé si ce n'était pour me demander de rester à la maison avec lui. Cela dit, qu'il me posa cette question me fit vraiment plaisir, enfin c'est ce que je me disais au début, jusqu'à ce qu'il aille s'enfermer dans sa chambre, me laissant seul, dans le salon comme un idiot. S'il voulait seulement que je sois sa bonniche au fourneau fallais le dire! enrageai-je, tout mon après midi avait été gâché pour lui et PAR lui! Quand il se décida enfin à sortir de son hibernation, son attitude ne changea pas d'une once et son indifférence commençait à me mettre hors de moi. J'agrippai son épaule d'une main sûre et l'obligeai à se retourner.
   - ... tu me fais mal lâche moi, protesta-t-il.
   - Avec la journée que tu viens de me foutre en l'air j'ai tous les droits! lui criai-je.
   - De quoi tu parles?
   - Tu me demandes de rester et tu ne m'a parlé pas de la journée! je suis bon qu'a te faire à bouffer c'est ça!? J'essaye de t'aider mais tu ne me dis rien! Alors tu fais vraiment CHIER!
Aucun son ne sortit de sa bouche après ma grande tirade. Me faisant maintenant dos, il prit le chemin de sa chambre sans répondre à mes "accusations". Une fois le pas de sa porte franchit, je crus entendre un petit "désolé" chuchoté discrètement par dessus son épaule. Cela n'était qu'un petit mot sans grande ampleur mais ça signification me réconfortai.

*****

                Le sommeil tardait à venir, je me remuait de gauche à droite, les yeux fermés sans grande conviction. J'hésitai entre m'abandonner au sommeil ou rester éveillé pour éviter de saccager encore une fois l'appartement. J'avais beaucoup inquiété Louka et il s'était vraiment bien occupé de moi. Jamais je ne lui dirai la vérité, il croit peut-être que je suis traumatisé à cause du meurtre ou que j'ai été agressé et cela étant, c'est peut-être mieux qu'il continu à le croire. Demain je le rassurerai, je lui mentirai, comme a tout le monde, comme d'habitude. Je ne suis qu'un idiot! La seul chose que je sais vraiment faire est de blesser les gens que j'aime. La vie est décidément mal faite. Je me décidai enfin à ne plus bouger et à garder les yeux clos, attendant que le sommeil et mes mauvais rêves reviennent...

...Mon coeur se sert, je ne répond plus. Mes bras son lourd, mon corps est si fatigué. Autour de moi, le sol n'est que poussière, mon corps me brûle, peut-être est-ce la poussière qui accentue ma douleur. Je te regarde, tes yeux inexpressifs m'observe de toute ta grandeur. Je ne peux rien faire d'autre que baisser les yeux devant toi. Je n'est plus peur maintenant, je sais ce qu'il va se passer. Tu t'approches et t'accroupis à mes côtés. Oui, je sais ce qu'il va se passer, tu vas encore sourire, ta voix mielleuse va me dire que ce n'est pas grave, que je vais aller mieux maintenant. Tu t'apprêtes à enfoncer cette chose longue et dure en moi. A chaque fois, mon sang se glace, mes yeux se plissent sous la douleur. Je te supplie, ma voix remplit la pièce et toi impassible, tu ne réagit pas, tu es concentré, tu pénètres délicatement cette chose en moi, c'est froid, glacée...
   
   - arrête!
   -Chut c'est bientôt finit. Ça va te faire du bien.

Tu mens! plus tu l'enfonce plus j'ai mal. Ma voix s'enroue, mes muscles se crispent. Je cris, encore et encore, et encore... cela jusqu'à ce que je ne souffre plus, ou moins. Une fois la douleur partie tu m'aides à me relever et tu me ramène dans ma chambre. Je salis pour la énième fois tes vêtements. Ta chemise est tâchée par ce liquide qui empeste, mon corps entier en est recouvert, je suis crasseux et collant. Tu m'asperge d'un jet d'eau froide avant de me permettre de me coucher. Le temps de m'endormir tu me raconte tes exploits, tes progrès, tu me dis qu'un jour vous serez célèbre. Tous les soirs c'est la même chose, les mêmes histoires. Tu crois toujours y arrivé, tu prétend être à deux doigts de réussir mais cela fais presque deux ans que j'attend cette fameuse réussite. Cela fait aussi deux ans que tu m'utilises. Ensuite comme d'habitude, tu te rend enfin compte de toutes ses années durant lesquelles tu as échoué. Tu t'énerves , à force de raviver tes souvenir ceux-ci provoque chez toi, une vive colère. Tu attrape mon bras et le serre. Tu le serre de toute tes forces, comme s'il était une force vivante que tu voulais étrangler. Mais pour l'instant tu n'arrives qu'à me couper la circulation et à me faire mal. J'ai vraiment très mal, très mal... En fin de compte la seule chose que tu as fais durant toutes ses années c'est me blesser.

                 Je me réveillai en sursaut, le corps transpirant. Je pouvais entendre mon pou battre à cent à l'heure et j'avais du mal à respirer. L'impression de suffoquer m'empêcher de bouger et je restai inerte à ce que je voyais. Seule la panique faisais face à mes illusions, pourtant je n'arrivai pas à esquisser le moindres gestes. Il se tenait la, devant moi. Pourquoi est-il revenu maintenant? ne me laisseront-ils jamais en paix! cette chose approcha de moi, toujours plus près, jusqu'à me toucher. A ce moment là, je fermai les yeux et criai de toute mes forces. J'imaginai déjà le contact glacial de cette chose avec mon corps, la douleur que j'allai ressentir. Je continuai à crier, encore et encore. Soudain la porte s'ouvrit à la volée laissant apparaître Louka, un couteau à la main, le même que j'avais utilisé la veille. Une fois la lumière allumée, mon ami se précipita et me pris dans ses bras. J'essayai tant bien que mal, malgré ma difficulté à parler dut aux hoquets de lui indiquer où IL était caché, avec cette chose dans les main. J'agitai faiblement mon bras et ne put qu'articuler le mot "attention". Je le vis s'emparer du couteau avec lequel il était venu et se retourner d'un geste vif. Je lui fis signe de la main d'avancer vers l'armoire, il s'approcha, discrètement sans un bruit. D'un geste Louka ouvrit le battant et brandit son couteau dans le fond... RIEN. Il regarda à deux fois sans comprendre tandis que moi je me lamentai sur mon sort. Bien sûr qu'il n'y avait rien, cela faisait des années qu'il n'y avait personne, et pourtant chaque fois je suis sûre de leur présence. Je les chasses, je me cache... mais de qui? de fantômes, d'illusion, de visions fantaisistes. J'imaginai dans quel piteux état je devais être, les yeux pleurant à flot, la goutte au nez, le corps tremblant tandis que mon colocataire me regardait sans comprendre. PI-TO-YA-BLE. Il vint tout de même me tenir compagnie, m'offrir ses bras, convaincu que j'étais proie à de mauvais rêve. Je profitai de la chaleur de son corps et de la douceur de ses mains pour me réconforter et m'allonger à ses côtés.

   - restes avec moi s'il te plaît.
   - D'accord, d'accord, calme toi, me répondit Louka avec gentillesse.

Dans ses bras je retrouvai la tranquillité qui m'avait été enlevé depuis bien longtemps. Je fermai les yeux sereinement et m'endormi.

*****

              Trois jours passa depuis cet incident. Je me remémorai encore ma surprise et la sienne quand je vis que personne n'étais dans cette fameuse armoire. Il devait avoir fais un rêve très réaliste pour qu'il puisse s'imaginer qu'il y avait quelqu'un dans la vie réelle, à son réveil. peu de temps après, il m'avait expliqué calmement qu'il était souvent en proie à de mauvais rêves. La nuit qui vint, il débarqua dans ma chambre, ce qui m'étonna le plus en le voyant est que même en dormant il avait gardé de quoi caché son visage, ensuite je me vocalisai sur ses larmes. Je dut le réconforter maintes et maintes fois avant qu'il ne s'endorme paisiblement dans mon lit, et surtout, dans mes bras.

              C'était étonnant comme il était fragile, j'avais l'impression depuis quelques temps d'être sa mère. Cette nuit encore je prévoyais déjà d'être interrompu en plein sommeil. Je décidai donc de me couché tôt sachant qu'il me fallait au moins 30 minutes pour le rassurer plus le temps de se rendormir.
Comme je l'avais prédit, un grattement se fit à ma porte et Semha apparut dans l'entrebâillement. Il referma et courut jusqu'à mon lit avant de se jeter dans mes bras. Comme depuis les jours précèdent, il se lova sans un mot dans mes bras et pleura. Quand il eut finit je l'entendis hoqueter puis se serrer contre ma poitrine. Mais cette fois-ci ses mains s'agrippèrent à ma taille et remontèrent progressivement le long de ma colonne vertébrale me procurant de léger frisson. Il glissa sur mon tee-shirt jusqu'à mon visage et posa doucement sa mains droite sur ma joue avant de pencher sa  tête légèrement autour de moi. Il s'approcha de mon visage tétanisé et posa ses lèvres sur mes lèvres figées. Les siennes étaient froides, presque gelées. Je ne bougeai pas, préférant continuer à faire le mort, ne sachant pas s'il divaguait ou s'il se rendait compte de ce qu'il était en train de faire. Au bout d'un moment, il se redressa et se coucha comme si de rien n'était. Il se recoucha contre moi et s'endormi en un rien de temps.

24 juillet 2009

Anghell [chap 11]

Hello every body! Comme je n'était pas là pendant une semaine voilà un petit chapitre afin de vous faire attendre jusqu'à la semaine prochaine car je repars pendant une semaine demain! Enfin bref, un planning chargé! Ce chapitre n'est pas vraiment intelligent(je vous previens j'ai l'impression de retomber dans la guimauve...=_=") mais bon j'essayerai de me rattraper plus tard!

ps: des fois je regarde d'où vienne les gens qui sont sur mon blog...un jour je regarde la provenance des visiteur, et apparament l'un des visiteur aurait tapé "suicide falaise" et se serait retrouvé ici...c'est carrément flippant ><

CHAP 11

                Ayant plus de peur que de courage, Edward prit le chemin du gymnase à pas tremblant terrorisé à l'idée qu'il puisse se faire toucher par quelqu'un d'autre que lui. Ses jambe ressemblaient à des flageolets et ses poils devenaient piquant et se hérissaient sur ses bras dut à la chaire de poule. Quand il atteignit enfin la porte d'entrée, il respira un grand coup, tel un champion de plongée avant un record d'apnée. Il poussa la porte et entra en trombe dans le gymnase. Il s'engagea dans le couloir et posa son oreille sur chacune d'elle essayant de trouver dans laquelle Alice pensait commettre ses cochonneries. Il avança à pas de loup près à bondir sur chaque entrée afin de mettre fin au mauvaises actions que cette fille prévoyait. Ils les imaginaient déjà l'un sur l'autre, Alice gémissante au possible et Angel atteignant le 7e ciel avec une cruche... Il continua donc son inspection jusqu'à tombé sur la salle des prof, une petite pièce doté de plusieurs fenêtre ayant pour utilité de voir les professeurs présent à l'intérieur... dans le cas présent, ces fenêtre servait plutôt de moyen d'exhibition! Edward se cacha derrière la porte, qui elle, était non translucide... les constructeurs ont vraiment tout prévus, même un peu trop franchement! Malgré le mur, et les différentes épaisseur qui les séparaient, Edward perçut avec précision les deux voix de ses "amis". Il se décida enfin à passer la tête par la vitre et put apercevoir les deux élèves s'embrasser à pleine bouche. N'osant plus bouger il continua d'observer les deux gens faire leurs affaires.

                Angel commença à passer lentement ses mains sous le léger débardeur de sa partenaire toute en continuant à fouiller sa bouche à l'aide de sa langue. Son débardeur vola à l'autre bout de la pièce, contre la porte où se trouvait "caché" Edward. Celui-ci n'avait toujours pas bougé mais ça présence ne fut pas remarqué pour autant. Angel dégrafa le soutien gorge d'Alice qui n'en demandait pas moins et qui enleva elle-même sa culotte de plus en plus excité par la situation. Elle poussa le mannequin sur l'un des siège et se mit à danser langoureusement, essayant tant bien que mal d'exciter son partenaire en imitant une gogo danseuse. Son corps nu était fin et bronzé, sa poitrine n'avait rien à envier à Pamela Anderson et apparemment sa peau avait eut droit à un traitement spécial avant de venir au lycée: une légère touffe de poil au niveau du pubis démontrait clairement une épilation du maillot ainsi que des jambes. Les yeux grand ouvert, Edward continuai à la regarder bouger de manière obscène mais tellement sexy. Elle s'approcha de sa proie et se baissa jusqu'à s'agenouiller au niveau de sa fermeture éclaire. L'instant d'après, elle utilisait déjà sa bouche pour satisfaire Angel qui ne se gênait pas pour lui appuyer sur la tête à chaque va et viens. N'y tenant plus, il la redressa sans délicatesse avant de la prendre d'un seul coup sur ses genoux. Mais ce ne fut pas au déplaisir d'Alice qui commençait déjà à gémir. Le mannequin lui pris les fesses et les ramena vers lui d'un geste rapide ce qui eut don de la faire crier sans retenu.
De son côté Edward ne restait pas de marbre devant ce film porno en direct. Son sexe commençait à se durcir en entendant les gémissement continu d'Alice. Le visage d'Angel durant l'acte était tellement magnifique... Il n'en fallut pas plus pour qu'il se déverse dans sa main en le regardant dans un petit gémissement étouffer.  Contrairement à ce qu'il pensait, son plaisir n'était pas passé inaperçu et Angel tourna la tête vers lui. Edward ne bougeait plus, pétrifié, le jean ouvert, le souffle coupé et sa semence dans la main droite. Son ami le regarda à travers la vitre pas plus étonné que ça et lui adressa un sourire provocateur tandis que Alice était toujours sur lui. Edward trouva enfin la force de bouger et de s'en aller en courant devant cette scène honteuse. Il se rhabilla à la va vite et sortit du gymnase aussi rapidement qu'il put.

              Arrivé à la maison, Sarah était déjà devant la télévision, vêtu d'un simple pyjama et un snickers dans la main. Elle ne lui accorda pas même un regard et continua à zapper comme si de rien n’était. Le jeune homme ne s’en fit pas et courut jusqu’à se chambre essoufflé avant de retirer ses vêtements pour prendre une douche.
Une fois en pyjama il descendit prendre un repas léger, n’ayant pas le coeur à s’attabler. Il emporta une tomate ainsi qu’une canette de coca et remonta. Apparemment sa soeur lui en voulait toujours pour la dernière fois où il avait frappé le mannequin. Sarah était du genre à clamer la paix et à essayer de mettre fin au bagarre inutile, le fait que son propre frère frappe une innocente, ou du moins quelqu’un qu’elle croyait innocente, lui était insupportable. Il faudrait tôt ou tard qu’il lui dise que la situation s’était arrangé et qu’il avait une relation amicale. Il s’affala sur son lit et prit une bouchée de tomate. Un peu de jus lui coula de long du menton qu’il essuya d’un revers de main avant de s’essuyer avec sa serviette de bain qui traînait encore par terre. Il n’aurait jamais penser voir les choses évoluer de cette façon ce soir-là, il ne pensait pas qu’Alice aurait eut assez de culot pour le faire dans la salle des profs. Elle était tellement vulgaire pendant l’acte, ses gémissements, sa manière de bouger. Mais malgré ce qu’il en pensait les faits était là: Angel venait de coucher avec sa «rivale»! Il ne pouvait pas le laisser continuer ainsi, Alice avait mit au point un plan parfait, tout le monde savait qu’un homme était séduit à partir du moment ou le sexe entrait en jeux. Voir cela l’avait vraiment excité mais une jalousie féroce avait prit désormais possession de son corps, la voir caresser chaque parcelle de son corps que lui même n’avait pas encore put toucher le mettait hors de lui. Il en avait eut pourtant cent fois l’occasion, pourquoi n’avait-il pas profiter ce corps magnifique avant? Avant que son propriétaire arrête de lui tourner autour et de la toucher. Il essayait de rester de marbre lorsqu’il l’approchait alors qu’à cette époque déjà, il lui faisait un effet incroyable. Il était encore étonné de voir à quel point on pouvait changer d’avis sur quelqu’un et passer de la haine à l’amour... Maintenant il lui fallait reprendre du terrain, ne pas laisser Alice gagner la partie et répliquer de la même manière!

*****

              Le jeune mannequin sortit de son pavillon et s’apprêtait à fermer à fermer quand une voix l’interrompit:

- Eh! Angel!
- Edward? comment tu sais où j’habite?
- J’ai demandé au lycée, mais euh... je te dérange?
- Non bien sûr que non.
- Bah je voulais savoir si tu avais le temps pour aller boire un verre? J’ai quelque chose à te dire.

Ils partirent bras dessus bras dessous comme deux amis de longue date vers un petit bars du centre ville. L’endroit était certes petit mais assez accueillant, la peur d’être dévisager ou siffler n’existait pas. Ils s’assirent dans le fond de la pièce, un peu plus sombre que le reste et à l’écart des oreilles indiscrètes. Ils commandèrent un café au lait et Edward rassembla son courage en serrant sa pauvre tasse en porcelaine, mais fut soudain devancer par son ami.

- Alors?
- Euh quoi?
- Ça t’a plut hier?
- Quoi!? Non mais c’est pas ce que tu crois!
- Ah bon? pourtant t'avais l'air plutôt excité non? Mais ne t'inquiète pas c'est tout à fait normal, c'est un peu comme un film porno mais en direct donc il y a de quoi, le rassura-t-il en souriant.
- Mouai... euh, mais dis moi, pourquoi est-ce que tu as accepté de le faire avec Alice alors que tu m'avais dit tant de défaut sur elle?
- Parce qu'elle est jolie, pas besoin d'être parfait pour couché. Mais dis moi... tu ne serais pas un peu jaloux?
Edward ne répondit pas et se contenta de baisser la tête sur sa tasse encore tiède.
- Tu as laissé passer ta chance au début de l'année.
- Hein? Mais au début je ne t'aimais pas!
- Parce que maintenant tu m'aimes? demanda Angel, un sourire en coin.
- Chui obligé de le dire?...je t’aimes.
- C’est mignon!... mais trop tard!rajouta Angel en riant du malheur et de la mine déconfite de son ami. Je ne crois pas que tu m’aimes, c’est juste de l’attirance.
- Non j’en suis sûr! Je ferai ce que tu veux pour te le prouver! déclara Ed de manière solennel comme le ferait un soldat devant une mairie.
- Ce que je veux? très bien, alors je n’accepte pas de sortir avec toi pour l’instant mais si tu me satisfais j’y réfléchirai... Tu me raccompagnes?

Les deux adolescent quittèrent le bar après avoir finit le fond de café. Ils repartirent comme ils étaient venus, c’est à dire à pied, aucun d’eux n’avaient encore de voiture ni leur permis. Edward resta avec lui jusqu’à la porte.

- Et bien à la prochaine.

Angel se retourna vers son ami et l’embrassa en posant délicatement ses lèvres sur les siennes. Quand celui-ci décida d’y mettre fin Edward ne fut pas du même avis et appuya sur sa tête afin de prolongé cet instant.

- Aïe! Ça fait mal! Cria Edward, une main sur la tête pour se masser à l'endroit de l'impact.
- Qu'est-ce qui te prend! Tu commences très mal. Salut!

Angel ferma la porte devant Edward, le laissant avec un vilain mal de crâne sur le palier.

*****

             Les deux garçons se retrouvèrent souvent après l'école pour parler. Alice l'avait remarqué et les observait du coin de l'oeil. Son amour avait pris un nouveau tournant depuis ce qu'ils avaient fais. Son coeur battait la chamade, son teint passait du blanc au rouge poivron sans parler de l'état de ces petites culottes. Ses rêves étaient inlassablement basés sur son ange. Edward n'était pas sans voir les nouveaux sentiments d'Alice, malgré son animosité à son vis à vis, il la surprenait à soupirer lors de sa venue au tableau, ses mains devenaient d'une moiteur insupportable lorsqu'elle adressait la parole à son "Angel chéri" et son sourire nerveux ressemblait à celle des stars botoxées, L’amour avec un grand A existait enfin pour celle qu’il appelait la blondasse. Et cela ne l’arrangeait pas particulièrement. Angel jonglait encore entre eux deux et cela le rendait maladivement jaloux. Il ne savait pas non plus ce que voulait dire Ange en lui proposant de la satisfaire et ça avait le don de le rendre aussi nerveux que sa rivale. Les cours se déroulèrent sans encombre même si Angel continua à s’asseoir à côté d‘Alice, laissant Edward seul sur une des tables arrières. Celui-ci prit son mal en patience, se disant que le jour venu, se serait son tour. peut-être attendait-il qu’il prenne les devant? Il envisagea donc de l’emmener faire un tour dans un parc d’attraction ou autres lieu ayant l’air distrayant. Cette réflexion lui permit d’avoir une version accélérer du cours de mathématiques qui commençait à devenir sans fin.

           Angel ne lui adressa pas la parole de la journée préférant visiblement parler avec Alice. Edward était en colère et essayait de se contenir en cherchant de bonnes excuses à son ami. Après mûre réflexion il se laissa tenté par le fait que celui-ci veuille le rendre jaloux et le tester. Et bah si c’est ça, c’est réussit! grogna-t-il. Il était maintenant plus de 18 heure quand son portable se mit à sonner, déclanchant sa panique. Il regarda longuement le téléphone et inspira profondément afin d’avoir l’air le plus décontracté possible.

- Allo? Angel?
- Oui, on s’est pas beaucoup vu aujourd’hui... tu m’évite ou quoi.
Edward ne put s’empêcher de laisser échapper une protestation et se retint de crier que c’était lui qui l’évitait et non le contraire.
- Non pas du tout, arriva-t-il à dire d’une voix calme et calculée.
- Bien, alors je te propose de sortir demain? En fait j’ai une séance photo donc si ça te dit de venir...
- Oui! s’exclama l’adolescent sans prendre le temps de réfléchir longtemps.
- Bien alors je t’attendrait devant ma porte à dix heure précise, ne soit pas en retard.

Sur ceux, il raccrocha. Edward était passé de la colère à la joie de vivre. Jamais auparavant il ne s’était senti si bien. Il avait une envie de sauter et de crier au monde entier Ô combien il était heureux mais se contenta de prendre un sourire idiot et de continuer son chemin en sautillant. Il arriva chez lui en souriant et salua sa soeur pour la première fois de la semaine. celle-ci le regarda de haut en bas sans comprendre la joie qui émanait de lui. Elle saisit un bout de sa chemise pour le retenir avant qu’il ne monte.

- Qu’es-ce qui t’arrives? pourquoi t’es si content?
- Demain j’ai un rendez-vous avec Angel! mais ne t’inquiète pas je te ramènerai un autographe, continua Edward, toujours avec son air arriéré.
- Angel? répéta-t-elle sûr de ne pas avoir bien entendu.
- oui! Avec on peut de chance on va peut-être..., il s’arrêta en pleine phrase, les joues légèrement brunit, enfin je veux dire, on va enfin être super pote ahaha, bon je monte!

Il se dépêcha de courir jusqu’à sa chambre paniqué et honteux. Sarah le regarda faire en souriant, son frère était vraiment un idiot. Il ne savait fixer ses sentiments, il était quelqu’un d’indécis, haïssant et aimant les gens comme d’humeur. Mais apparemment cette fois-ci était la bonne, le fait qu’il se soit enfin trouvé quelqu’un la réconfortait, lui qui était si froid et distant, préférant les relations d’une nuit au relation stable avait enfin flashé sur une personne. Notamment un garçon dans ce cas là mais cela ne lui posait pas plus de problème que ça. Elle soupira, contente de cette nouvelle mais aussi exaspérée par son caractère changeant et abruti qu’il allait arborer pendant les 3 mois à venir.

*****

          Angel pris son blouson noir qui allait très bien s’accorder avec son tee-shirt blanc et descendit les escalier en courant. Edward était déjà là et l’attendait de pied ferme. Un sac dans la main gauche, une banane dans l’autre, Angel traversa la rue en courant jusqu’à l’arrêt de bus. Le bas de son pantalon était trempé et ses cheveux soigneusement brossé ce matin était dans un piteux état. Ils arrivèrent ainsi, comme deux vagabonds dans l’un des plus grand studio internationale. Edward avait l’air aux anges tandis que son compagnon ruminait à ses côtés. Angel fut redirigé dans une pièce adjacente afin d’être maquillé et habillé. Edward, lui, alla attendre sur une chaise dans la pièce ou devait se faire le shoot. Une grande toile blanche servait de décors tandis que beaucoup de paravent se tenait de par et d'autre de ce drap. Quand Angel arriva, Edward resta béat devant cette merveille vivante. Ses cheveux était recouvert d'une fine couche de paillette, certainement de la laque, il revêtait un long manteau noir orné de chaîne argenté, un pantalon noir assez classique, des bottes de cuir à talon et enfin des ailes ressortait derrière son dos, immenses et noires, tel les anges de la mort que l'on voyait souvent dans les livres fantastiques. Le photographe lui ordonna de prendre la pose et la séance commença. Edward ne pouvait détacher ses yeux de cet homme au visage pâle et aux yeux bleus. Le temps semblait s'être arrêter et il en profita pour contempler son ange où plutôt son rêve. Ses positions commençaient à devenir de plus en plus osé, ses vêtements étaient de plus en plus ouvert et s'amassait sur le côté au fur et à mesure qu'ils prenaient les photos. Cette exhibition ne semblait pas déranger Angel, qui au contraire, c'était pris au jeux et lançait des regard provocateur à l'objectif. Il laissait ses mains parcourir langoureusement son corps, s'attardant sur sa poitrine et l'intérieur de ses cuisses qu'il montrait sans retenu, écartant les jambes et laissant ses mains s'y attarder. Edward trouvait cette attitude plutôt exécrable mais franchement excitante. La situation commençait vraiment à dégénérer... enfin surtout pour lui. Des gouttes de sueur longeait son front et venaient couler sur son cou. De ses mains devenues moites, il serrait son jean afin de trouver un point d'appuie pour se retenir, serré les dents n'était pas assez efficace contre tout ce désir qui le malmenait. Ne tenant plus, il sortit sans bruit avant la fin, s'excusant maladroitement auprès des employés qui étaient encore en train de travailler. Angel resta silencieux mais le suivit du regard jusqu'à ce qu'il disparaisse de sa vue.

           Edward s'empressa de chercher des toilettes qui paraissaient inexistante et se mit à la recherche d'une salle vide ou d'un placard, pour qu'il puisse enfin se soulager. Il courrait dans les couloir immense de l'entreprise. Il courait nerveusement en boitillant sans se retourner. Enfin s'offrit à sa vue une pièce entrouverte plongée dans le noir total. Il y entra et ferma la porte tout en faisant attention à conservé le noir dans la pièce afin de faire croire que celle-ci était fermée. Une fenêtre donnant sur l'extérieur lui permettait de voir ce qu'il faisait sans avoir la crainte d'être vu à son tour puisqu'il était au 3e étage. Il déboutonna son jean et commença à se masser lentement le sexe de grand vas et vient. Il gémissait le nom de son ami tout en continuant à se masturbé jusqu'à ce qu'il soit interrompu par le cliquetis de la porte. Celle-ci s'ouvrit sans qu'il ait eut le temps de réagir, le montrant dans une situation très compromettante.

- Tu es vraiment très excitant comme ça... Dis moi la cause de cet état plus que pitoyable? demanda le mannequin après avoir refermé la porte derrière lui.
- Hum..., bafouilla Edward pour gagner du temps et essayer de se rhabiller à la va vite, tu as déjà finis?
- Oui, dois-je ne conclure que cela t'ennuyais au point que tu as préférer aller dans cet réserve pour te faire plaisir?
- Non! cria Edward contre l'idée que Angel se faisait de lui. C'est pas ça, ça m'ennuyait pas du tout!
- Alors qu'est-ce qui t'a mis dans cet état?
- ..., Edward refera garder le silence trop honteux de se déclarer une nouvelle fois comme une jeune fille amoureuse.
- Alors? j'attend. répéta son ami qui ne semblait pas pressé.
- Toi, lâcha Edward complètement à bout. C'est toi qui m'a mit dans cet état. A force de te regarder, tu était tellement excitant...
- Et bien, quand tu commence on ne t'arrête plus! On pourrait peut-être réglé ton problème. Tu viens chez moi tout à l'heure?
- Oui, souffla Edward du bout des lèvres avant que son ami ne l'embrasse du bout des lèvres.

Angel avait beaucoup aimé cette après midi. Le pauvre Edward semblait vraiment désemparé quand il était rentré dans la réserve. Il n'avait pas voulu avoué les raisons de son état mais il avait fini par avouer. Angel posa le livre qu'il avait commencé sur la table et regarda par la fenêtre. Oui, il aurait vraiment tout ce qu'il voudra avec lui, il le forcerait s'il le faudrait... non, il n'aura pas besoin de le forcer, il obéira et deviendra à sa merci et enfin, il regrettera ce qu'il lui avait fait...

15 juillet 2009

Le temps d'une danse [OS]

Salut!! J'i trvaillé toute une nuit, de 2h du matin à maintenant 7h15 (je suis pas insomnique...mais je suis trééés fatiguée!) pour faire cet OS que je toruve assez long.(10 page) bref ce n'est pas un OS avec une trame super, donc ne vous attendez pas à une histoire entre deux personnage déchiré...on ça n'a rien à voir, c'est censé être euh...drôle?(enfin ça dépend votre humour vu que je sais que mes talent d'humoriste sont limité) et léger( je sais pas vraiment ce que ça veut dire mais je le met quand même XD)

Sinon certains feront peut-êtrela gueule en se demandant pourquoi j'ai pas fais la suitede mes histoire, simplement car j'ai aps encore prévut toute la suite d'Anghell et de SV et surtout le meilleur raison et que je veux pas vous donner la réponse tout de suite, veux un peu vous laisser mariner...ahaha (sadique héhéhé)donc vais quand même essayer de mettre une suite mais je sais pas si j'aurais le temps donc soyez patient! car après je pars en vacances donc...bref sur ceux bonne lecture!

Le temps d'une danse.

                 Le rideau se leva et Jude entra en piste. La musique démarra laissant son corps s'exprimer au file des notes. Ses bras exécutaient de gracieux mouvement dans les airs tandis qu'il bougeait son corps dans une danse délicieux et continua jusqu'a n'en plus pouvoir. Il salua sous les applaudissement du public en transe. Les vestiaires n'étaient pas loin et il courut se mettre le visage sous l'eau. Il releva la tête après l'avoir plongée dans le lavabo, des gouttes coulaient sur son visage et les pointes de ses cheveux gouttaient et se collaient a ses joues. Il s'appuya sur le lavabo et se redressa plongeant son regard d'or dans la glace. Quand il était petit ses cheveux était blond cendrés et brillait tel le blés au soleil, mais au fil du temps ceux-ci s'étaient assombris jusqu'a devenir brun fonce. Ça ne lui déplaisait pas, au contraire, cela lui permettait de ne plus ressembler a l'enfant qu'il était, pour dire vrai il trouvait les gens blond détestable. Depuis que sa mère était parti avec un homme plus jeune et plus riche qu'elle le laissant lui et son père seul a la maison, son dégoût pour les blonds avait empiré. D'ailleurs, son père n'était pas là ce soir, il avait beau chercher, regarder siège par siège, il n'avait pas vu ses yeux bleus le regarder.

*****

            Le train était bondé et l'odeur devenait de plus en plus insupportable. Chris se tenait appuyer... ou plutôt écrasé contre la vitre, les cheveux colles contre son front avec la sueur. Il essaya de bouger désespérément son bras coince entre les ressort d'un siège et les fesses d'une grosse dame. Exténuer par ses essais rater, il releva la tête et soupira. Il ne mit pas longtemps a comprendre que ce qu'il venait de faire était une très mauvaise idée: devant lui se tenait la plus grosse aisselle en sueur qu'il n'avait jamais vu, il tourna le tête a droite espérant chasser cette image plus qu'horrifique, mais ce qu'il vit ne le rassura pas pour autant, deux autres aisselle étaient postée a ses deux extrémités.... il était piégé
            Le wagon arriva enfin dans une grande ville ou la moitie des passagers descendit ainsi que les trois être transpirant qui étaient a ses cotes. Deux stations plus tard tous les passager avaient désertés le train, seuls quelques personnes restaient ainsi que lui. Il prit un siège et s'affala dessus. Sa journée avait été épuisante et il ne sentait presque plus ses jambes engourdies d'avoir dut se tenir debout pendant trois quart d'heures. Il avait encore les cris des ambulances dans les oreilles et les plaintes des patients se répétaient sans cesse dans sa tête l'empêchant parfois même, de dormir. Il sortit alors un journal de sa valise qu'il se mit a lire pour passer le temps. Il n'en était qu'à la première page quand il fut interrompu:

- Pardon, est-ce que peux m'asseoir?
Chris leva les yeux et aperçut deux yeux dores le regarder.
- euh, bien sur, répondit Chris en poussant son sac.

Il regarda son nouveau "voisin" s'asseoir et s'accouder a la fenêtre. Il reprit son journal et continua a lire son article. Soudain il eut l'irrésistible envie de revoir le jeune homme et leva son regard pour le poser sur l'homme aux yeux d'or. Assez jeune, il ne devait sans doute pas dépasser 25 ans, ses cheveux étaient brun et s'acco0rdait très bien a ses yeux d'un dorés intense. Ses jambes venait s'échouer contre le siège opposé et Chris fut le premier captivé par ses longues jambes fines. Ce fut à partir de ce jour que son regard le captura.

*****

              Chris regarda sa secrétaire apporter une énième pile de paperasse sur le rebord de son bureau déjà assez encombré. le temps avait beau passé, le nombres de papiers à remplir étaient toujours le même et cela n'en finissaient pas. Il avait déjà passer la moitié de ma journée en réunion et finissait la deuxième à son bureau. Il lui arrivait de se poser la question "pourquoi je fais ce boulot", quand il y repensait il ressentait comme un étrange malaise, se lancer dans une carrière et se poser une question comme celle-là au bout de 2 ans de bon et loyaux service dans l'hôpital. Soudain le téléphone sonna et il se vit obligé de partir en salle d'opération.

                 Lui et les autres docteurs présents passèrent une heure en salle d'urgence, pour au bout du compte finir avec une opération ratée et un mort. Sa journée était décidément magnifique! Il pris sa sacoche et franchit les portes électrique de l'hôpital avant de prendre la direction de la gare. Par miracle, il restait une place assise près de la fenêtre. Souvent un bon nombres de personne restaient debout, ne trouvant soi-disant pas de place, alors que la réalité était tout autres. De nombreux sièges vides étaient disponibles, au milieu de deux personnes, qui, en préférant ne pas être en liaison direct avec une autre personnes inconnu du train, avait laissé une place entre elles. Le comportements des gens de nos jours étaient vraiment incompréhensible, certains préféraient restés debout, accrochés à une simple barre de fer, entre deux aisselles que de s'asseoir sur un siège à l'abris des bousculades. Chris s'excusa à maintes reprises et passa dans le couloir principale pur atteindre un des ses fameux sièges resté inoccupé entre deux femmes brunes. Il demanda si il était libre et prit place à coté d'elles, remarquant le regard meurtrier de la bonne femme se tenant à sa gauche, près de la fenêtre, les écouteurs dans les oreilles. Ne trouvant rien à faire, il pensa à ce qu'il allait bien pouvoir manger en rentrant. Étant seul, il n'avait personne qui l'attendait à la maison en lui ayant préparer un bon repas. Il n'avait encore eut jamais de vrai relation sérieuse avec une femme.
Tantôt elle était trop superficielle, tantôt trop collante, il n'arrivait décidément pas à se trouver quelqu'un qui lui convenait. Peut-être suis-je trop exigeant? se demanda-t-il en repensant à ces nombreux échecs passés. Sa vie était plus qu'ordinaire, jeune médecin de 30 ans, il venait d'entamer sa carrière depuis bientôt deux ans, il était beau, sportif mais devenu peu à peu inactif à cause de son manque de temps pour s'occuper de lui. Quand on lui avait dit qu'il fallait beaucoup travailler et qu'il pouvait faire une croix sur ses passes temps, il n'aurait jamais cru en arriver à l'arrêt de toutes ses activités physiques. Il venait de quitté sa dernière copine, ou plutôt maîtresse il y a 2 mois et autant dire que sa situation et son manque de temps pour une relation stable lui faisait faire des choses plutôt honteuse pour passer ses moment d'envies.

                Il était pourtant loin d'être moche, ses cheveux ébouriffés comme les mannequins de la télévision et lui donnait un air de jeunesse éternelle, il ne les rasaient pas mais ne les laissaient pas pousser jusqu'à ses oreilles non plus; Il était à la grandeur moyenne mais ne pouvait pas se vanter d'avoir été l'un des plus grand de sa classe avec son petit mètre 75. Ses yeux bruns étaient d'un banal sans pareille ce qui lui posait un problème lors de ses quelques dîner; Il lui était arrivé de voir des films romantiques où les héros se regardaient dans les yeux, se trouvant chacun des yeux magnifiques et se faisant tous les effets d'excitation du monde: ceci était loin d'être son cas, pas une once d'effet n'avait été détecté dans les yeux de ses partenaires, et aussitôt avait-il lever son regard vers elles, qu'elles le regardait sans broncher, comme des poissons morts, avant de détourner le regard comme si ces quelques seconde yeux dans les yeux avaient été d'un ennui mortel. Depuis que sa dernière saint valentin s'était déroulée ainsi, il n'osait plus inviter qui que ce soit manger ou boire un verre. Il en avait certes eut 100 fois l'occasion, et même si ces filles s'ennuyait le résultat aurait été le même, il les aurait ramener et sauter, mais la nature avait fait que cet homme ne cherchait pas d'histoire d'un soir, préférant s'économiser pour une plus longue histoire d'amour. Ringard?...oui certains n'en pensaient pas moins et n'hésitait pas à le charrier sans se retenir, et Chris le savait. Il acceptait les critiques et en rigolaient mais au fond cela lui faisait mal de savoir que aucune personne qu'il connaissait ne pensait la même chose que lui,et que s'il continuait comme ça, comme disaient ses amis, il atteindra ses 65 ans: seul, médecin à la retraite, sans famille. Rien que cette pensé le fit frémir et cela ne passa pas inaperçu de ses deux voisines qui se retournèrent en le fusillant sur place.
"Des fois je me dis que les filles sont vraiment pas faîtes pour moi...". Cette hypothèse, cela faisait bien 1 mois qu'il se la posait, ceci aurait bien expliquer un bon nombres de ses problèmes, son manque d'excitation envers certaines de ses partenaires, son nombre d'histoires ratées, et enfin son indicible attirance pour ce garçon qu'il croisait tous les jours dans le train quand il n'était pas de garde. D'ailleurs à peine l'eut-il mentionner, que celui-ci fit son apparition dans le wagon. Chris ne put s'empêcher de le suivre du regard, observant ses moindres gestes. Il le vit notamment grimacer de dégoût en passant près d'un homme simplement vêtu d'un débardeur, mais qui pourtant, laissait échapper deux fois plus de transpiration qu'une personne normalement constituée. L'homme se poussa pour le laisser passer dans un grognement et le jeune inconnu put marcher, où plutôt boiter jusqu'à un siège vacant. Effectivement mon attention avait été attiré par ses difficulté à se déplacer, il s'était appuyé lourdement sur les sièges des passagers pour avancer. Je le vis s'asseoir et crisper son beau visage avant de se pencher pour se masser la cheville. Décidément rien n'allait aujourd'hui... ou pas.

Chris attendit que le wagon se vide un peu avant de se déplacer sur le siège en fasse de lui quand la grand-mère qui lui servait de voisine avait enfin décidé de sortir. Ils n'étaient plus que quelques uns dans le compartiment qui sentait à la fois l'eau de Cologne défraîchie ainsi que la sueur encore chaude des anciens occupants. Il se débrouilla pour cacher son mécontentement ne voulant pas passer pour une concierge râleuse auprès de son cher inconnu et commença à entamer la discussion quand il fut sûr que l'autre l'avait remarqué et avait levé les yeux vers lui.

- Euh, bonsoir, je m'appelle Chris et vous?
- Jude... Si vous voulez de l'argent j'en ai pas, et pareille pour les tickets resto.
La conversation débutait plutôt mal conscient que Jude le prenait pour un mendiant.
- Non non... c'est pas du tout ça.
- Alors qu'est-ce qui vous prend de venir me parler?
- Euh c'est juste que ça fait 1 mois que je vous vois dans le train et je me disais ce serait peut-être mieux de pas faire le trajet seul... enfin après si je vous dérange je vous laisserai tranquille.
- Ah... Je croyais que vous étiez un de ses pervers qui attendaient que je sortent pour me suivre et... enfin vous voyez..., lança Jude en souriant enfin.
- Euh aucun soucis de toute façon on ne descend pas au même arrêt!
- Ah parce que tu m'a déjà espionner? dit-il avec un air faussement outré.
- Nooon! s'exclama Chris de peur que son voisin ne se fasse de fausses idées.
- Bah t'inquiète pas je rigolais! Alors sinon comment tu t’appelles?
- Chris, euh... je vais bientôt descendre, donc je voulais juste vous dire que pour votre cheville il faudrait mieux que vous passiez à l’hôpital. Tenez voici ma carte, vous pouvez passer quand vous voulez, demandez moi, je verrez ce que je peux faire. Au revoir.
- Ah bah merci! salut! répondit Jude en prenant la carte que lui tendait son interlocuteur.

Chris était descendu une station plus tôt que prévu. Ce n’était pas dans ses habitudes de paniquer devant quelqu’un, il maîtrisait les pires des situations avec certains patients colérique, mais cette fois-ci il n’avait pas put continuer à lui parler. Des réactions qu’il n’avait jamais eut auparavant c’étaient produites: il n’arrivait plus à s’arrêter de rougir, quand il avait vu Jude sourire ce fut comme une révélation, l’admiration, puis la gêne... il se sentait tellement con, et puis enfin il y avait... ça, pensa-t-il en regardant la bosse qui commençait à se former dans son pantalon. Il fit attention à ce que personne ne se trouve autour de lui pour le voir dans ce piteux état et alla s’asseoir sur l’un des siège pour attendre le prochain train, couvrant le haut de son pantalon avec son manteau.

              Une fois arrivé après de nombreuse minutes de retard, Chris tomba sur son lit peu après avoir posé son cartable et retiré sa cravate et ses chaussures. Soudain l’image de Jude lui revint en mémoire remettant son organe masculin en marche. De toute façon je suis chez moi, alors autant en profiter. Il commença à faire descendre sa main droite vers sa fermeture éclair et la fit descendre doucement tout en se caressant. Une fois bien excité, et le caleçon devenu trop serré, il l’ôta et prit en main son sexe déjà dur. Il commença de lent va et viens, qui firent effets sans tardé, lui arrachant de petits gémissements. Il commençait à sentir une chaleur intense s’emparer de lui et accéléra la cadence avec sa main. Il ne lui suffit que de l’image des jambes longues et fines de Jude pour finir ce qu’il était en train de faire et laissa jaillir sa semence. Il relâcha sa main et la posa sur le côté afin de calmer sa respiration devenue courte et saccadée ainsi que son excitation qui avait rarement été aussi forte. Il attendit encore 5 minutes avant de se lever décidé à prendre une douche. Il revint un peu plus tard et s’approcha du lit près à s’allonger pour une longue nuit bien méritée mais un élément imprévue attira son attention. Fais chier faut que je change les draps! pesta-t-il avant d’enlever les draps souillés.
C’est vraiment une journée de merde...

*****

              Jude demanda à son prof de le laisser partir plutôt afin d’aller à l’hôpital. L’invitation de l’homme dans le train n’était finalement pas une mauvaise idée et il avait décidé de s’y rendre afin de se soigné de cette foutue cheville qu’il empêchait de danser depuis près d’une semaine. Il devait donc apprendre les chorégraphies en regardant les autres sans pouvoir s’entraîner, et le spectacle était dans un mois. Si ça ce n’était pas de la malchance! Sans voiture il était coincé et était encore obligé de prendre le métro et le train. De toute façon, se disait-il, avec une voiture ou pas, je ne pourrai pas me déplacer dans Paris. Il quitta la capitale et pris le train jusqu‘à Évry. Ce n’était pas sur sa ligne et il lui fallut faire quelques changements. Il espérait simplement que le détour en valait la peine et que l’attente pour se faire soigner une malheureuse cheville n’allai pas être trop longue. Comme il l’avait prévu, malheureusement, une longue file de personnes était déjà assise. Il soupira et alla voir la secrétaire afin de noter sa présence.

- Mr Jude SizeMore vous dîtes? Attendez voir, je crois avoir déjà vu votre nom quelques part. Ah! Voilà, le docteur Jukovishk vous attends, vous trouverez son bureau au fond du couloir à droite.
- Euh merci, répondit Jude surpris mais tout autant ravis.

              Il suivit les indication de la secrétaire et se retrouva dans un couloir au papier peint jaune criarde et aux portes violettes. Mais où est-ce qu’il était tombé! Ah je savais bien qu’il ne fallait pas écouter les inconnu dans le train... mais bon maintenant que j’y suis après tous le chemin que je me suis tapé hors de question que je fasse demi-tour maintenant! Il scruta le nom inscrit sur les portes à la recherche de celui qu’il recherchait. Un nom comme le sien ne devait pas être difficile à trouver... ah! le voilà! DR JUKOVISHK CHRIS... il frappa trois fois et entendit une voix lui dire d’entrer avant de pénétrer dans la pièce. La salle n’était pas du tout comme ce que pouvais laisser penser le couloir, le papier était ici blanc mais de jolies peintures étaient accrochées autres que les posters montrant le corps humain habituellement scotché dans les cabinets médicaux. Jude fut assez surpris de voir Chris dans son uniforme de médecin, lui qui semblait simplet avait changé du tout au tout, c’était presque un coup à ne pas le reconnaître. sa blouse blanche sur le dos, un stylo accroché à la poche de la veste ainsi qu’un calepin dans la main droite et des lunettes sur le nez, il faisait vraiment sérieux. La seule chose qui gâchait l’image sérieuse de son futur médecin était sûrement les piles de paperasses en retard posées sur le coin de son bureau Comme quoi la première impression est trompeuse. Ils se serrèrent la main et s’essayèrent.

- Je ne savait pas si tu allais venir donc j’avais dis à la secrétaire d’accueil de réserver une place prioritaire si tu venais.
- Ah merci beaucoup, j’avoue qu’en voyant la queue j’ai eu peur, il y a toujours autant de monde?
- Oui hélas, mais encore heureusement, il faut bien que nous servions à quelque chose, mais si j’aimerais avoir un peu moins de patients de temps en temps. Alors votre cheville? ça ne va pas mieux?
- Non, je peux pas danser.
- vous êtes danseur?
- Ouai, mais arrêtez de me vouvoyer ça me gêne, je dois être plus jeune que vous.
- hein? alors je fais si vieux que ça?
- Mais non ce n’est pas ce que je voulais dire, rigola Jude devant son air faussement outré. Appelez moi Jude et tutoyez moi.
- Alors fais de même et appelle moi Chris. J’ai 30 ans et toi?
- 26...pourquoi vous... enfin tu fais cette tête?
- Je croyais que tu avais moins de 25 ans... mais ce n’est pas un problème, enfin bref, je vais te soigner et pour les présentation nous aurons tous le temps dans le train, ou autre part, pensa-t-il.

Chris l’examina et lui donna ce qu’il fallait pour avoir moins mal pendant ces répétitions. Quand Jude lui demanda une ordonnance Chris réalisa que c’était peut-être la dernière fois qu’il allait pouvoir lui parler seul à seul comme maintenant. Une seul idée lui vint en tête pour le revoir sachant que Jude n’était jamais allé à l’hôpital à par cette fois-ci, il y avait peut-être une chance pour qu’il y croit.

- Euh, je suis désoler je ne peux pas te faire d’ordonnance, il va falloir que tu reviennent ici jusqu’à ce que ta cheville soit guérie.
- Hein? mais pourquoi? je peux pas aller chercher mes médoc tout seul? et avoir un arrêt maladie?
- Non, tu dois revenir prendre tes médocs ici pour vérifier que tu prennes bien ce qu’il faut et pour vérifier l’état de sa cheville quotidiennement.
- Ah bon? et depuis quand on fait ça dans les hôpitaux?
- Je sais pas... euh non enfin je veux dire je sais pas depuis quand exactement mais c’est depuis cette année, essaya de se rattraper le médecin. C’est pour vérifier que certaines personnes n’aient pas d’arrêts maladies si elles ne sont pas malades. Certaines personnes profitent de nous pour ne pas aller travailler et être payer, te faire revenir nous permet de vérifier ainsi que si ta cheville guérit plus vite que prévus, que tu ne prennent pas de médicament pour rien... c’est pour ta santé, je ne fais qu’appliquer la loi.
- Ah d’accord, et donc je dois venir quand?
- Tous les jours matin et soir, tu as différents médocs à prendre, certains pour minimiser la douleur, d’autre pour que ça guérisse plus vite. Enfin je sais que c’est dur mais après au moins tu sera en forme pour danser.
- Matin et soir! mais c’est impossible, je me lève déjà hyper tôt je peux pas faire plus!
- Je suis désolé, je ne peux pas faire autrement...
- Vous êtes sûr que c’est indispensable?
- Oui, répondit Chris sur un ton sans appel mais qu’il regretta quand il vis la mine embêter de son patient. Peut-être qu’il pouvait changer ses plan et lui dire de ne venir que le soir.
- Okay je vais faire un effort mais ça à intérêt à être efficace! Bon bah merci Chris, je viendrais vers 7h d’accord?
- Oui très bien, à demain!

               Chris ferma la porte et se rassis sur son fauteuil dans un bruit sourd. Il était vraiment embêté. Son mensonge était peut-être allé un peu trop loin. Mais n’ayant trouvé que ce moyen pour le revoir il avait pris le temps de développé ses arguments et il avait été très étonné que le jeune homme y croit, lui qui croyait que c’était peine perdu, apparemment son patient l’avait cru sans bronché. D’ailleurs il ne savait pas d’où il avait sorti cette loi stupide qui consistait à faire revenir tous les patients chaque jours pour des médicaments, et heureusement que cette loi n’existait pas car si tous le monde se mettait à revenir, certes le nombre d’emploi augmenterai mais l’attente serait infernale, il y aurait tellement de monde qu’il ne pourrait pas rentrer chez lui et il passerait sa vie ici... quel cauchemar! Son idée lui était sûrement venu de sa colère envers ses personnes qui profitait d’une fausse maladie pour vivre sur les impôts des autres sans travailler! Il laissa cette idée le quitter et se remis au remplissage de ces lettres posées sur son bureau.

*****

              Jude revint chaque jours, matin et soir afin de prendre ces médicaments. Chris était conscient de faire faire à son patient plus de trajet que nécessaire, et lui donnait plus de médicament qu’il n’en fallait tous les jours. Il espérait simplement qu’il tiendrait le choc et ne ferait pas une indigestion. Il en profitait chaque jours pour parler de tout et de rien et essayai d’en savoir plus sur son patient de jour en jour. Il faisait de la danse depuis 20 ans, ayant d’abord commencé en danse classique puis passé par le modern jazz à 12 ans et enfin évoluer jusqu’au hip hop à 14 ans. Il était dans une école de danse  depuis ses 16 ans et était devenu danseur dans une troupe et donnait des cours au plus petit. Mais il continuait malgré ça à prendre des cours dans son ancienne école et son spectacle était dans un mois. Il espérait se faire remarquer avec ses amis par des employeur ou autres. Sa vie c’était la scène, il était séparé de sa mère et son père se préoccupait peu de lui.

- Euh... et sinon tu as quelqu’un? demanda Chris sur un air faussement innocent.
- bah non la dernière personne avec qui je suis sortie c’était ya une semaine. Quand je t’ai rencontré pour la première fois.
- Ah, ELLE te manque alors?
- Euh... pas tout à fais, c’est moi qui l’ai largué, trop frivole... et toi?
- Euh, à peu près la même chose que toi sauf que moi c’était il y à plus longtemps.
- Ah je vois... c’est pas trop dur d’être tout seul? Parce que moi je commence et franchement ça me manque déjà!
- de quoi?
- Baiser.

Chris ne sur quoi répondre ne voulant pas lui déballer ces pratiques honteuses depuis 1 mois et surtout à qui il pensait en les faisant. Il lui dit en revoir et le regarda partir dans le couloir.
Jude tourna à gauche pou rejoindre la salle d’attente et y croisa un homme plutôt âgé, un long manteau et un chapeau noir sur la tête. Il portait un petit sac de médicament à la main.

- Bonjour monsieur, vous aussi vous venez pour prendre vos médicaments? C’est chiant de venir tous les jours quand même non?
- euh... non je ne vient pas tous les jours, je veux juste que le docteur me donne une nouvelle ordonnance, je n’ai plus de médicament et la pharmacie ne veux pas m’en redonner sans nouvelle ordonnance.
- Hein? Vous avez une ordonnance? mais le médecin vous a pas dit qu’il y avait une loi où l’on devait revenir tous les jours?
- Je sais pas qui te soigne mais il est maboul, me dit pas que tu crois à des conneries pareil, bon je te laisse petit , je vais être en retard.

Il le salua de la main et laissa Jude seul dans le couloir, assez choqué par ce qu’il venait d’entendre.

Durant toute la journée Jude réfléchissait à la conversation qu’il avait eut avec le vieil homme et se demandait qui il devait croire, Chris ou cet homme qu’il avait juste rencontré par hasard. En même temps il ne voyait pas pourquoi Chris lui aurait menti à propos des médicaments, ce n’était pas comme si il le faisait payer les médicaments à chaque fois qu’il venait et donc cela n’avait pas de but lucratif. Il décida de demander conseil à un de ses amis qui avait déjà s’était déjà casser la jambes auparavant et s’était retrouvé à l’hôpital.

- Hein? bah non j’y retournais pas tous les jours, t’es malade ou quoi? tu veux me tuer? en plus c’était super loin!

La réponse n’avait pas été celle espéré et pourtant Jude avait essayer pour la première fois de croire en Dieux et avait prier pour que son ami lui donne une bonne nouvelle et lui dise qu’il pouvait faire confiance à son médecin... résultat: il resterait Athée pour le restant de ses jours. Mais le problème n’était pas là, il devait encore retourner à l’hôpital ce soir et... Jude vit une multitude d’étoiles grises couvrir son champs de vision et sa vue devenir flou...

*****

          Jude se réveilla à l’hôpital dans un chambre déjà occupé par un vieil homme ressemblant à celui qu’il avait vu dans le couloir... mais ce n’était pas lui et il le savait. Il trouvait juste que tous les vieux se ressemblait... en tout cas pour ce qui était de l’odeur, certains avaient de la chance et d’autre n’était pas épargner de cette odeur infâmes qui envahit tout individu ayant dépasser les 80 ans. Et encore, la dernière fois il avait croisé une dame de 60 ans à peine qui puait plus fort qu’un wagon de train entier après l’heure de pointe. Enfin, ça s’était peut-être plutôt dut à son manque de déodorant, il n’en savait rien, elle avait peut-être des circonstance atténuantes... ou pas. Il continua de sentir cette magnifique odeur de son compagnon de chambre jusqu’à ce que la porte s’ouvre et qu’un courant d’air se crée et permette au pauvre Jude de respirait l’air « frais » ou du moins plus que celui de la chambre actuelle.

- Chris!
- Euh oui? tu as fais une espèce d’indigestion, ce serait trop long à t’expliquer mais...
- Ne t’inquiète pas j’ai tout mon temps, d’ailleurs il y a beaucoup de chose que tu as à m’expliquer!
- De quoi tu parles?
- Fais pas le con hein?ça marche une fois mais pas deux!Cette foutue loi n’a jamais existée, tu t’ai bien foutu de ma gueule! Tu voulais me voir faire un indigestion de médoc? et bah c’est fais! Qu’est-ce que tu veux maintenant hein?
- Calme toi c’est pas ce que tu crois..., tenta d’expliquer Chris sous la colère de son patient.
- Ouai bah t’a intérêt à être persuasif sinon je te met une droite.
- Je... j’ai fais ça, commença-t-il à articuler, parce que... je voulais te revoir.
- Hein? t’appelle ça une raison valable?!s’exclama Jude hors de lui.

Chis n’eut pas le temps de le calmer que la droite était déjà partie et Chris eut la tête projeter de l’autre côté de la salle.

- Alors tu te sent comment maintenant hein?!
- Euh... bizarre... j’ai bien cru que j’allais être le premier homme à pouvoir faire un tour de 360° avec ma tête.
- C’est tout ce que tu as à dire? je viens de te mettre une droite et c’est tout ce que tu as à me dire à par une plaisanterie? Ah non avoue que tu caches une seringue pleine de mort au rat dans ta blouse! Ah! j’ai compris pourquoi tu as ce stylo accroché à ta veste, c’est pas un stylo mais un seringue empoisonnée! s’écria Jude sur un air mélodramatique.
- Haha, tu as découvert mon secret!
- espèce d’imbécile, à cause de toi j’ai cru que j’allais mourir, déclara Jude sur un air solennel mais apparemment calmé.
- Désolé, je ne savais pas que j’allais mettre ta santé en danger, ce n’était pas mon but.
- hum, rappel moi pourquoi tu m’a fais revenir ici tant de fois, matin et soir, alors que j’était fatigué, épuisé, au bord de la mort?
- je... je voulais juste te revoir... répondit le médecin, la tête dans les épaule, les joues rouge de honte et les yeux fermé près à se reprendre une deuxième droite.
- Si c’était que ça il fallait le dire, soupira-t-il suivit par un sourire.
- Hein? mais... tu m’en remet pas une?
- Si tu tiens tant que ça à être le premier homme à tête pivotante ça peut se faire.
- Oublis ce que j’ai dis.
- Tu as intérêt à te faire pardonner... tiens si on allais dîner demain? et après on va au ciné! Bien sûr tu payes hein?
- Euh... Okay, répondit Chris assez surpris par sa réaction... quelques seconde plus tard son expression passa de la joie à la peur en voyant Jude arrêté de sourire et le saisir par le col en criant.
- N’empêche que tu imagines que j’aurais put crever!
- Je suis désolé.
- En plus tu m’as fais levé plus tôt depuis 1 semaine!
- désolé.
- Et me suis levé plus tôt pour quoi? avoir une indigestion de médoc!! continua-t-il encore plus fort.
- Désolé!!!! répétait Chris au bord de la crise cardiaque.

La journée du lendemain promettait d’être sans pitié pour le jeune médecin.

*****

             Chris et Jude se retrouvèrent comme convenu devant un grand restaurant. Ils demandèrent une table et allèrent s’asseoir dans le fond de la salle.

-Euh, pourquoi on est dans un grand restau comme ça? je suis pas habitué à ça, on aurait pas put aller autre part? demanda Chris en regardant la carte.
- Qui dit chic dit chère, alors si tu crois que tu vas t’en tirer avec un fast food à trois franc! Tu m’as fais perdre mon temps pendant une semaine et le temps c’est de l’argent donc payes moi au moins de la bonne bouffe!

Chris soupira et replongea son nez dans les menu. Jamais il n’avait été dans un restaurant comme celui là, même pour la dernière saint valentin... en même temps vu comment c’était terminé la soirée ça aurait été inutile de payer autant. Se remémorer la saint valentin lui fit penser directement aux yeux de poisson mort de sa compagne... ah bah tiens ya de la friture! Juste la pensé de revoir un poisson lui faisait remonté ses vieux souvenirs et son imagination lui faisait faire des cauchemars, imaginant sa dernière valentine armé d’une canne à pêche, des yeux de poisson à la place de ses yeux normaux (ce qui ne changeait pas grand chose donc) et celle-ci lui disait « viens! viens je vais t‘avoir par le trou avec mon hameçon! » C’était toujours à ce moment là qu’il se réveillait... et c’était peut-être une bonne chose, car honnêtement il ne voulait pas savoir ce qui allait se passer ensuite. Ce fut à la fin de ces longues minutes de rêverie que Jude commença à agiter la main devant le visage de son ami.

- Eh Oh! réveilles toi!
- hein? oh désolé je repensais à mon ex.
- Elle te manque?
- pas trop non, et il commença à lui raconter ses rêves étrange ce qui fit rire Jude jusqu’aux larmes.
- J’y crois pas! Ta vraiment de l’imagination!
- bah j’y peut rien on peut pas tous avoir de beau yeux.

C’est à ce moment là que Chris plongea son regard dans celui de son voisin de table. Il était totalement fasciné, ensorceler par ses yeux d’un doré sans fin. Ses pupilles étaient ovales et ressemblaient à celles d’un chat. Ils étaient tout simplement magnifiques.

- Bon quand t’auras finis de baver devant ma beauté parfaite fais moi signe!
- Ah! désolé!...tu as de très beaux yeux tu sais?
- Dis sur un ton plus viril ça le ferait.
- Tu as de très beaux yeux tu sais, répéta Chris en se prêtant au jeu.
- Oui je sais, finit Jude en l’embrassant.

L’effet de surprise fut total et même une voyante n’aurait pas put prévoir le coup [je vois déjà toutes les voyantes crier au scandale]. Toutes les conversations du restaurant baissèrent et devinrent encore plus basses qu’elles ne l’étaient déjà et Chris avait même l’impression que l’orchestre [oui il y a un orchestre] avait baissé d’une note dans les graves. En fait il avait plutôt l’impression que le temps s’était arrêté et que tous le monde le regardait les yeux grand ouvert, la bouche encore pleine.
Jude s’éloigna et se rassit comme si de rien n’était. Et commença à manger ce que le serveur qui était toujours sur place les yeux ecarquillé avait posé sur la table. Peu à peu le bruits revint laissant Chris tétanisé sur sa chaise n’osant plus regarder ni son ami, ni le serveur, ni les gens de la salle.

- T’inquiète pas, c’est toujours comme ça, tu as l’impression que le temps s’est arrêté mais en fait se sont juste les gens qui se sont arrêtés... apparemment tu as vu ce que j’ai vu non? la dame au fond à droite, la bouche ouverte et encore pleine, ce sont ces genres de chose qui dégoûte. La vérité ce n’est pas que les homos ont peur s’embrasser en public ou devant leur parent, c’est juste qu’ils ont peur de voir cette vision vomitive de la bouche encore ouverte pleine de brocolis encore frais, ni trop dure, ni trop mâché dans la bouche d’une vieille dame pustuleuse. Donc c’est aussi pour ça que deux jeunes homme ne s’embrassent pas devant leurs parents, tout le monde crois que c’est parce qu’ils ont peur ou honte! mais c’est faux! moi je vais te dire pourquoi, c’est simplement que voir l’intérieur de la bouche de ton père en bouffant de la pizza c’est pas top... enfin après ça tu vois plus jamais ta famille de la même manière... Donc ceci explique cela!
- Waouh.... tu sais que tu m’inquiète toi, s’exclama Chris en rigolant sans retenu dans le restaurant déjà assez perturbé par leur exploit précédent. Mais c’est une bonne théorie, plutôt positive!
- Je sais j’ai expérimenté beaucoup le truc je te jure j’ai vu l’intérieur de la bouche de toute ma famille en même temps.
- Tu es... homo?
- Ah je te l’avais pas dit? enfin de tout façon je suppose que ça ne te surprend pas après ce que je viens de faire et ça ne t’as pas déplu non? ne me dis pas que tu voulais juste me revoir parce que tu es en manque d’ami?
- Mouai c’est vrai... j’ai droit à un deuxième?
- Non, on verra plus tard, on à encore le temps, 1 semaine que tu me pourris la vie donc tu me payes le resto ciné pendant une semaine!

*****

           Aujourd’hui était le dernier jour, cela faisait une semaine que Chris payait le restaurant de luxe à Jude qui ne cessait pourtant de se plaindre de la trop petite quantité de la nourriture. Le dernier restaurant où ils s’étaient rendu, un vase d’énorme rose était installé au milieu de la table entre eux deux. La quantité de nourriture avait été dosé au minimum et Jude était allé se plaindre et faire une scène au milieu du restaurant.

«- Nan mais vous avez pas honte de servir aussi peu de nourriture! pour le pris qu’on paye on pourrais en avoir un minimum!                                                                                                                                                                       - Veuillez faire moins de bruit monsieur, venez me voir dans mon bureau nous allons arranger le problème.
- je veux pas me plaindre durant des heures et chercher une solution je voulais juste vous dire deux mots comme ça! De plus vous voyez les roses sur la table! Je suis sur que si on les bouffais on aurais plus à manger que dans notre assiette! »

C‘est à ce moment là qu’ils s’étaient fais viré en beauté avec l’interdiction de revenir, ce que n’avait pas protesté Jude en assurant ne jamais revenir dans un endroit où c’était pire qu’au McDo... Le patron n’avait pas aimé la comparaison et était sorti en courant à notre poursuite, le pauvre il boitait, Chris avait presque envie de lui donner sa carte pour le soigner et Jude semblait tout à fais d‘accord près à renouveler l‘idée de le faire revenir tous les jours pour lui faire provoquer une indigestion de médoc. Jamais il n’oublierai cette soirée. De plus il avait eut droit à son bisous devant la porte de sa maison ce qui l’avait finie en beauté.

              Pour ce dernier jour, il se demandait si Jude allait l’oublier où s’il allait accepter de continuer à le voir. Il avait dit une semaine et peut-être qu’il allait arrêter au bout de ces quelques jours. Chris s’inquiétait de plus en plus d’autant qu’il ne voyait pas son ami arrivé. C’est au bout de 10 minutes de retard qu’il apparut enfin sur le trottoir voisin. Il lui fit un signe de la main, invitant Chris à le rejoindre. Ils ne prononcèrent pas un mot jusqu’à ce que Jude lui dise de descendre du métro qu’ils avaient pris. Il se retrouvèrent devant un grand parc dont Chris n’avait même pas connaissance. Jude l’emmena vers un camion et il achetèrent deux hot dog ainsi qu’un paquet de frite. Chris continua de suivre son patient jusqu’à un banc au milieu de parc, complètement abandonné. Ils mangèrent en silence jusqu’à ce que Chris demande enfin ce qu’il faisait là.

- Euh, Jude? Pourquoi tu m’a amené là?
-  On y allais souvent avec ma mère, j’aime cette endroit. Et puis je pensais que pour notre dernière soirée c’était mieux qu’un de ces resto chic complètement bio. Rien vaut mieux que les vieux bon hot dog fait maison.
- Oui tu as probablement raison, fit  Chris un peu triste que Jude confirme ses soupçons en parlant de leur dernière soirée.
- T’as l’air triste, qu’est-ce que t’as?
- Rien , je pensais que c’était notre dernière soirée.
- Mouai allez viens là, je vais te donner ce que t’attend depuis une semaine.

D’abord Chris ne compris pas jusqu’à ce qu’il voyant Jude se coucher dans l’herbe verte fraîchement tondue. Il alla le rejoindre un peu nerveux car c’était ce que l’on pouvait appeler sa « première fois » avec un mec. Il vint s’asseoir près de son ami et plongea son regard encore une fois son regard dans ses yeux dorés.

- Écoute, je peux pas, si c’est juste une fois, ça m’intéresse pas.
Jude , lui, commençait déjà à se déshabiller et avait enlevé son tee-shirt, laissant voir son torse musclé par la danse.
- Eh tu m’écoutes quand je parle? s’exclama Chris sans réussir néanmoins à détourner son regard de cette créature de rêve.
- Allez avoue que ça fais une semaine, voir plus que tu penses à moi en te branlant, donc profite aujourd’hui c’est ta chance, murmura Jude à son futur partenaire, au creux de l’oreille.

              Il patienta en attendant une réponse et commença à lui mordre le lobe. Il passa sa langue sur cette petite boule de chaire et descendit petit à petit sur son cou qu’il mordilla. Chris abandonna et entreprit de caresser les fines hanche de son patient. Sa peau était lisse et douce, très blanche mais cela lui allait tellement bien. Jude arrêta de le mordre et pour emprisonner ses lèvres. Il joua avec sa langue ne se lassant plus de l’embrasser. Il finit par mettre fin à ce délicieux moment et lui lécha sensuellement les lèvres tandis que Chris lui caressait la bosse qui se formait dans son pantalon et devenait de plus en plus grosse. Ni tenant plus, Jude arrêta toute activité et enleva son jean d’un coup sec  et le balança un peu plus loin. Il fit de même pour son caleçon et exhiba fièrement son sexe dressé devant Chris, qui lui aussi commençait à se sentir incroyablement serré dans son pantalon.

- Suce moi Chris... s’il te plait.

L’interpellé s’approcha doucement et contrairement à ce qu’il s’attendait, il le prit par les hanches et lui lécha ses tétons dure et rose tout en passant un doigt sur le sexe de Jude qui émit un gémissement de protestation. 

- Chris!
- Tu m’as dit de profiter, donc... je profite!
- mais... ah!

Chris venait d’arrêter de lui caresser le sexe et avait passé sa main sur son derrière, et avait passer son doigt sur son anus, il savait ce qu’il devait faire dans cette relation mais pas vraiment comment, une approche de ce genre lui permettait de « tâter le terrain ».

             Il continua donc à lui caresser la raie et approcha enfin sa bouche de l’intimité dressée de son partenaire et en lécha la verge déjà mouillée. Il continua ses coups de langues pas trop prononcés qui faisait pourtant bien réagir la victime de ceux-ci. Alors Chris lécha son doigt et l’enfonça enfin dans l’anus de son ami qu’il caressait depuis déjà un bon bout de temps. Il enfonça deux doigts d’un coup ce qui fit gémir Jude de plaisir, plutôt heureux de cette intrusion qui commençait à se faire attendre. Chris remarqua sa réaction et les enfonça sans relâche. Pendant qu’il activait son poignet il décida de passer aux choses sérieuses et avala le membre dressé de Jude qui criait déjà de plaisir. Il fit de grand va et viens avec sa bouche essayant tant bien que mal d’imiter ces copines précédentes, n’ayant que ça pour exemple. Petit à petit, se sentant de plus en plus à l’aise, Chris ne se l’imita plus au simple va et viens et utilisa sa langue qu’il enroula autour de son membre. Il refit quelques va et viens avant de s’amuser encore une fois avec sa langue, vu que son ami gémissait plus fort quand il faisait ça. Il retira enfin ses habits qu’il le serrait et libera enfin son sexe plein de désir lui aussi depuis le début, mais qu’il tentait de maîtriser jusqu’à maintenant. Jude se mit à quatre patte et entrepris de lécher à son tour l’objet imposant du médecin. Sa technique était sûr et ces coups de langues étaient parfaits, jamais Chris n’avait reçut une fellation comme celle-là. Il retenait ses gémissements et fut encore plus exciter par la vue du derrière de son amant légèrement remonté. Pendant que Jude était encore occupé, Chris passa ses doigt sur sa raies jusqu’à son trou avant de les enfoncer d’une simple pression à l’intérieur.

              Tous deux criaient de plaisir et pourtant chacun savait que ce n’était pas encore le plus orgasmique. Ils sentirent que c’était le moment et Jude remonta la tête et se mit à califourchon sur son homme. Chris lui ne savait pas vraiment quoi faire, entre dominer comme avec une femme où laisser faire son cadet qui en savait déjà plus sur la matière. La deuxième solution fut la plus rapide et Jude ne laissa pas le temps à son ami de faire quoi que ce soit, il s’empala sur son sexe en gémissant. Chris ne savait pas distinguer les gémissement de plaisir et de douleur mais il supposa que ceci étaient dut au plaisir quand il sentit son partenaire bouger ses hanches. La sensation était incroyable aussi bien pour l’un que pour l’autre. Chris aimait être au fond de sa cavité, chaude et glissante, Jude lui n’avait jamais pris autant de plaisir depuis bien longtemps, avoir le sexe de Chris en lui, lui donnait des montées de plaisir sans pareilles. Ce ne fut qu’après s’être libéré une fois tous les deux que Chris décida enfin de prendre les devant et retourna son amant sur le dos avant de se placer dessus. Jude remonta ses jambes sur son torse et attendit que Chris continu à les faire monter jusqu’à la jouissance. Celui-ci ne se fit pas attendre et commença ses coup de bassin déchaîner, des vas et viens, forts et sauvages mais Jude n’en demandais pas moins n’essayant pas une seule fois de s’en plaindre. Chris continua jusqu’à ce que le plaisir le submerge et qu’il tombe sur le ventre sur torse de Jude, lui aussi recouvert de sa semence.

- Ah... c’était trop bon, soupira Jude au bord de l’évanouissement.
- Ouai, vraiment trop bon.
- On se refait ça quand tu veux.
- Je croyais que tu avais dis que ce serait notre dernière soirée?
- Oui, notre dernière soirée avant que les autres ne soit officielle, si tu vois ce que je veux dire... à par si tu veux pas bien sûr?
- naaan! Je veux! cria Chris de toute les force qu’il lui restait avant de l’embrasser.

Soudain un bruit survint des buisson interrompant les deux tourtereaux dans les bras l’un de l’autre. Ce ne fut plus une douce étreinte chaleureuse qu’offrit Jude à son amant mais plutôt un écrasement surpuissant qui montra sa peur de ce qui se cachait dans l’arbuste.

- Mais qu’est-ce que... Non mais vous avez pas honte de faire ça!! S’exclama le gardien de nuit qui venait de jaillir d’un seul coups une lampe torche à la main et un hot dog dans l’autre                                                                                                 - bah quoi? fit Jude le plus naturellement du monde avant d’embrasser pour la énième fois son amant.

L’effet fut instantané, le gardien resta la bouche ouverte, le hot dog encore frais entre les molaires.

- J’appelle la sécurité, déclara-t-il en repartant chercher quelqu’un qui pourrait sans doute l’aider psychologiquement à surmonté ce qu’il venait de voir.
- Tu vois? je t’ai dit!On y à tout le temps le droit! C’est dégueulasse!
- Tu serais pas un peu scato ou adepte aux chose vomitive dans le genre? je reviens plus jamais dans un parc en pleine nuit avec toi! Déjà le coup des brocoli c’était limite mais alors là!?
-Allez, excuse moi mon amour!
- Attend... répète?
- Mon amour!
- hum... ya peut-être moyen de s’arranger.

*****

              Jude entra ne scène plus à l’aise que jamais. Il avait réussit à apprendre toutes les chorégraphies manquantes et les savait comme personne. Il dansait sur le rythme des notes ne pensant qu’à réussir et à rendre fier son public. Tout le monde applaudissait son entré en scène et continuait jusqu’à l’arrêt de la musique qui marqua la fin du spectacle. Il salua et fixa le fond de la salle. Deux yeux le regardait, son propriétaire avait beau dire qu’ils étaient ordinaire, lui trouvait que c’étaient les plus beau yeux du monde. Rien ne lui importait plus que d’être vu part ses yeux là. Car depuis ça rencontre avec eux, ils étaient toujours là pour le regarder.

11 juillet 2009

Sans visage [chap 7]

hello!!! oui je sais j'avais promis de mettre la suite il y a 2 ou trois jours mais je n'ai pas eut le temps...ne me frappez pas! bon je me depêche je dois arréter l'ordi >< je suis bien rentrée et comme vous le voyez les accents sont revenus! bref ce soir sortis entre amies, senace bavage devant plublic ennemis (jonhy depp oblige ^^) et seance film d'horreur donc c'est pas ce soir que j'aurais le tmeps de reflechir à la suite...je voualis mettre un peu plus de ligne à ce chapitre mais en fait je l'ai enlevé pour mettre un peu de suspens XD bref bonne lecture!!!

CHAP 7

           Semha était toujours sur le pas de la porte et j'attendais impatiemment une réponse de sa part. Je le vis ouvrir la bouche ne sachant que dire face a mon accusation. Seul Le bruits de la pendule se rependait dans la pièce essayant vainement de casser le silence devenu insupportable, jusqu'a ce que je relance la conversation qui s'annonçait plutôt délicate:

- Semha! répond moi!
- Écoute je...
- Quoi! alors c'est vraiment toi! criai-je sans retenu tandis que j'essayais de me reculer petit a petit afin de m'éloigner.
- écoute...je...j'ai fais ça pour toi!
- Pour moi! tu as tue un homme pour moi?!
- Je voulais juste lui donner une leçon, mais quand je l'ai vu, et repense a ce qu'il t'avais fais je ne sais pas ce qu'il m'a pris...
-Pourquoi? tout allait s'arranger, il aurait été virer, je n'aurais plus eu de problèmes... alors pourquoi? continuai-je d'une voix chevrotante au bord des larmes.
-Je suis sur qu'il aurait recommencer! qui te dit qu'il n'aurait pas continuer a te harceler après?
- Mais... la police aurait put s'en occuper...
- La police ne sert a rien, répondit-il d'une voix basse mais sur de lui.
- Ils vont te retrouver...
- Non, ne t'inquiète pas j'avais des gants, j'ai fais attention a ne rien laisser...
- Ne te fais pas d'idées! je ne m'inquiète pas du tout pour un assassin!
- Je... tiens a toi! j'avais peur pour toi, si tu avais vu ses yeux, il n'aurait jamais arrêter! je n'ai pense qu'a toi en faisant ça, j'ai cru que... que tu serai plus rassure... tu m'en veux?
- Oui je t'en veux d'avoir tue quelqu'un, lui dis-je en séchant les quelques larmes qui s'étaient échouées sur mes joues, mais en même temps quand je pense a ce qu'il m'a fait, je me sent heureux, je ne sais pas quoi penser.
-Je t'aime beaucoup tu sais, tu es un bon ami, je ne veux pas que tu me détestes...
- je ne sais pas, soupirai-je après un temps de réflexion, je dois réfléchir, il vaudrait mieux que nous arrêtions de nous voir,je retourne chez moi demain, je n'ai pas le courage de le faire aujourd'hui.
- Louka...

Je me relevai et me retournai laissant Semha seul dans le salon. Je pénétrait dans la chambre et tomba de tout mon poids sur le lit. Celui-ci m'accueillit avec mécontentement me laissant entendre le bruit strident des ressorts. Je m'enveloppai dans la couverture et posai ma tête déjà si fatiguée des le matin, sur l'oreiller qui n'attendait que moi. Mes yeux me piquaient un peu et je préférai les fermer ayant trop de peu de courage de me faire mal. Je n'eu pas a attendre longtemps pour que le sommeil vienne me prendre, repoussant mes pensées a plus tard.
Je me réveillai trois heure plus tard, dans mon lit défait, j'avais sûrement dut beaucoup bouger. Une bonne odeur s'évadait de la porte. Soudain quelqu'un frappa a la porte.


- Louka... si tu veux manger j'ai préparer quelque chose.


             Je me contentai de ne pas répondre et entendit ses pas s'éloigner après un soupire. L'envie de manger me tenaillait l'estomac mais je résistait tant bien que mal à me retenir et rester dans la chambre. Je me remis dans mon lit voulant réfléchir a la situation. Ce qu'il avait dit était totalement vrai, je me sentais plus que soulager de savoir que je n'allais plus jamais revoir cet homme, qu'il n'allait plus jamais me toucher, me faire du mal. il y avait comme un sentiment de joie, une envie de crier haut et fort que j'étais à présent libre, que je pouvait enfin vivre ma vie sans avoir peur à chaque coin de rue, à chaque bruit de verre cassé; je pouvais enfin vivre ma vie comme tout le monde sans contraintes, sans risques, sans me cacher. Mais ce sentiment était partagé avec le fait de savoir qui l'avait tué. J'étais sûr que tout aurait été différent si je ne connaissais pas l'assassin, je crois même que au fond de moi je l'aurais remercier de m'avoir libéré de cette menace, mais malheureusement tout ne ce déroulait pas comme on le souhaiterait.                                  Je le connaissais, je m'étais fait une image de lui exemplaire, sans défaut, sans faille. Un homme gentil avec lequel je me sentais en sécurité, avec lequel je me disais que je ne risquais rien. Ce qu'il avait fait me faisais douter de lui, de sa vraie nature: et si un jour il était en colère contre moi, qu'arriverai-t-il? s'il devenait violent?si tout ce que j'avais vu de lui jusqu'à présent n'était qu'une façade, un mensonge. Que penser de cet homme dont en fait, je ne connaissais rien, pour moi ce n'était qu'un inconnu rien de plus. Qui me disait qu'il était réellement au lycée avec moi? qui me disait qu'il ne m'avais pas aidé pour mieux profiter de moi après? Je me rendais compte petit a petit que rien était sûr, que j'avais bu ses paroles sans doutes, sans hésitations. Tout ce que je croyais savoir n'était que des illusions, des paroles sans certitude, et aujourd'hui toutes mes certitudes se brisaient en morceau. Alors a qui faire confiance? Pouvais-je encore faire confiance à un homme dont je n'étais sûr de rien? Devais-je lui pardonner de m'avoir libéré ou le haïr d'avoir transgressé la loi? Ma conscience voulait lui pardonner mais ma morale me dictait le contraire. Et si je lui pardonnais, continuerai-je à voir un inconnu? ce fut peut-être à ce moment là que notre relation changea.

*****

             La nuit tomba et je n'avais rien mangé, pas que l'envie me manquait mais je n'aurais pas supporté de voir Semha sans savoir ce que je ressentait vraiment vis à vis de la situation. Il était près de 23 heures quand je me décidai enfin de sortir de ma chambre pour aller piquer quelque chose dans le frigidaire. J'avais entendu mon colocataire se coucher 1 heure plus tôt et je n'allais donc pas le croiser. Je sortis doucement en tenant bien la porte de manière à ne pas la faire grincer. Je me dirigeai à tâtons jusqu'au frigo et ouvrit cette entre d'alibaba dont je rêvai depuis ce midi. je saisit une bouteille d'eau et une mousse aux chocolat que je dévorai en un rien de temps. Une fois ce dessert finis je décidai d'emporter le paquet dans ma chambre afin de continuer à déguster tranquillement.
               Alors je m'apprêtai à repartir dans ma chambre j'entendis comme un grognement. Je me retournai et me retrouvai nez à nez avec la porte de Semha. Je m'approchai assez intrigué par ces drôles de sons qui émanaient de la porte. Plus je m'approchai plus ses sons se devenait étranges, je pouvais distinguer sa voix qui était plus aigue que d'habitude. "c'est sûrement un cauchemar... je vais pas aller le réconforter quand même!" je tournais les talons résolut à le laisser et retournai dans ma chambre. Je me mis à déguster avec délice ces petites mousses chocolatées alternant une bouché de mousse avec une gorgée d'eau. Arès avoir finis de me régaler je me recouchai ne trouvant rien d'autre à faire à minuit. les grognement de tut à l'heure me revinrent en mémoires et je me demandais de plus en plus ce qu'il fabriquait. J'avais put distinguer quelques halètements et bruits étouffés... Ces derniers souvenirs me donnèrent la clef du mystère qui me semblais moins grave que ce que j'avais imaginé.
"N'empêche que je ne crois pas faire autant de bruit quand je me branle moi! Et puis qu'il fasse ça juste à côté ne me rassure pas vraiment..."
Le bruit de la douche me fit sursauter et je confirmai mon hypothèse sur ces activités précédentes et essayai de me rendormir.

*****

              Je me réveillai, fatigué de m'être couché tard et de n'avoir pas vraiment mangé. L'emballage de mon "repas" d'hier traînait sur le sol ainsi que les pots. Aujourd'hui était lundi et donc un jour de cours. Trop occupé à entreprendre mon "déménagement", Je choisis de louper les cours de la matinée. Semha avait cours une heure plus tôt que moi et devait déjà être parti. J'allai me servir un déjeuner convenable et pris mon sac et rangea mes vêtements dedans.
Une fois cette corvée finie je posai les clefs sur la table et partis.

             Mon appartement était complètement à l'abandon. La poussière s'était installée comme principale résident et l'odeur de moisissure ainsi que l'humidité ne manquaient pas. J'ouvris les volets et exécutai un curieux geste de la main de gauche à droite ayant pour but d'évacuer les mauvaises odeurs et poussières. Ensuite je rangeai mais affaires dans mes tiroirs non utilisé depuis un mois. Je replaçai mes affaires de toilettes sur les étagères de la salle de bain et remis ma brosse à dent dans un petit verre à côté de l'évier. Ce objet eut pour effet de me rendre nostalgique quand je vis ma brosse à dent seul dans le verre alors que chez Semha nos brosses étaient dans le même verre l'une à côté de l'autre. Je regardai autour de moi et me sentais affreusement seul, une seule serviette, un seul couvert, je retrouvai au fur et à mesure la dure vie en solitaire.
Je regardai la pendule que j'avais fixé en arrivant et remarqua l'heure qui commençait à se faire tardive. A mon grand désespoir il n'y avait rien dans le frigo depuis deux mois et je n'avais pas le temps de faire la queue au supermarché pour un malheureux croissant. Je me résolut à partir en cours le ventre vide. Mes mais étaient déjà là et m'accueillir à bras ouverts en me demandant la cause de mon retard. Je pris le temps d'expliquer une fausse panne de réveil et changeai de sujet. Une question s'imposait dans mon esprit et un autre vais que le mien venant de l'extérieur me semblait une bonne idée, il suffisait juste de changer deux ou trois choses.

- Euh, dîtes je peux vous poser une question? Alors euh voilà, la fille avec qui j'étais dans l'appartement à un cousin qui à tabasser un mec qui la harcelait. Maintenant ce mec est dans le coma, dis-je en essayant d'éviter que l'homme en question était mort, qu'est-ce que vous penseriez de votre cousin après ça?
- Bah c'est bien, répondit Fiona sans hésitation.
- Mais tu n'en voudrais pas à ton cousin en sachant qu'il à tué quelqu'un?
- Non, au contraire je crois que je serais heureuse, il a fait ça pour me défendre, ça signifie qu'il s'inquiétait pour moi donc je lui ne voudrait parce qu'il s'inquiétait, ce serait idiot de ma part.
- ah... tu as probablement raison, fis-je étonné de sa réponse qu'elle avait dite sans la moindres once d'hésitation.

                Nous nous séparèrent peu de temps après pour aller dans nos cours respectif. Chacun m'avaient dit leur avis sur la situation et à mon grand étonnement personne n'avait réagit comme moi. mes doutes étaient pourtant compréhensible non? les cours se terminaient plus tôt aujourd'hui et je put profiter pleinement de mon temps libre... mais à quoi faire? et avec qui? D'habitude, dans ces cas là j'essayai de m'arranger avec mon colocataire pour aller manger une glace ou faire un tour dans le parc. Je ne le connaissais pas et pourtant il m'avait raconté énormément de chose sur lui. mais il y avait bien un sujet que je n'avais jamais abordé, celui de sa famille, déjà la première fois, quand je lui avais demandé le nom de ses parents il avait eut l'air gêné, hésitant. J'avais compris que cela devait être un sujet sensible et j'avais arrêter de parler de tous sujets de cet ordre là... même si parfois il m'arrivait de repenser à ça et d'essayer de deviner le problème, des parents divorcés? absents? ou peut-être dans le pire des cas ne connaissait-il pas ses parents? dans tous les cas j'espérai de tout mon coeur que ce n'était pas ça. Dehors je croisais toutes sortes de personnes plus saugrenues les unes que les autres, c'est étonnant de voir à quel point ce pouvait être intéressant d'observer les gens, leurs comportements. Par exemple cette fille qui est en train de parler ou plutôt qui crie sur son petit ami et qui n'arrête pas d'agiter son index devant son visage, ou encore cet homme complètement avachi, le dos courbé, marchant à pas lent une valise sous le bras, je dirai que cet homme vient de se faire mettre au chômage, et puis il y a cette femme qui vient de regarder pour la énième fois son sac voir si il était bien fermer, elle doit sûrement avoir des TOC, pas facile pour elle tout les jour à mon avis. je restait là à étudier le comportement des passants durant une heure, une cannette de bière à la main avant de repartir pour mon appart.

*****

                Cela faisait bien une semaine que je vivais tout seul, comme avant, dans mon petit appartement de 3 pièces. Je commençais à me fatigué de n'avoir rien à faire, je n'arrivais pas à me convaincre d'appeler mes amis pour sortir, la seul personne vers qui mes pensées se tournaient étaient vers Semha. Vivait-il la solitude aussi mal que moi? se réveiller seul, manger seul, regarder la télé en solitaire. Ce quotidien m'était devenu insupportable, presque comme une routine, une autoroute sans virages. Peut-être devrai-je retourner voir Semha, après tout je crois être le seul à avoir envisager de lui ne vouloir, il a voulut me rendre service, ce n'est pas comme ci il voulait me faire du mal ou j ne sais quoi d'autre. Je repris mes affaires fraîchement lavé dans mon sac, repris mes affaires de toilettes et ferma la porte à clef derrière moi.
                 Je montai les escaliers directement jusqu'à la porte de son appartement. Bizarrement celle-ci était déjà ouverte. Je la poussai d'un revers de main et pénétrai dans le salon qui se trouvait dans le noir complet. Apparemment Semha était déjà aller se coucher et j'arrivais à la mauvaise heure. Je décidai de quand même aller voir en entendant quelques bruits venant de la chambre. Je me mis à marcher à pas progressif vers la porte jusqu'à ce que je trébuche sur un objet inconnu. D'après ma mémoire rien ne se situait au milieu de la pièce si ce n'est la table basse près du canapé... mais cet objet avait plutôt une forme ronde... ainsi qu'une tige... Curieux je tâtais le mur de sorte à trouver interrupteur. Quand la lumière s'alluma enfin je ne put retenir un cri de stupeur. Le salon ne ressemblait plus à son aspect d'antan mais à un champs de bataille, les coussins étaient par terre ainsi que du verre cassé près de la table à manger. Les chaises renversées bloquaient le passage à la cuisine et l'objet sur lequel j'avais trébuché par mégarde était en fait le lampadaire. Je continuai de regarder la pièce dévaster quand je réentendit pour la seconde fois ces étranges bruits dans la chambre. J'enjambai les bout de verre et réussit à atteindre la porte avant de l'ouvrir. La chambre était elle aussi dans le noir complet. Je continuai ma route jusqu'à la salle de bain et m'adossa au mur afin d'entendre ce qui se passait. Semha s'était peut-être fait agressé vu l'état de l'appartement. Je tendis l'oreille et perçut quelques halètements plus prononcés que la dernière fois ainsi que de fortes respirations, qui ressemblaient à une mini crise d'asthme. Je pris mon courage à deux mains et entra dans la salle d'eau en allumant la lumière...

ahaha la suite au prochain épisode!!!

1 juillet 2009

Anghell [chap 10]

hello everybody!! je ne sais pas encore comment j'ai fais mais j'ai trouver le temps d'ecrire dans ma famille d'acceuil. Enfin bref par contre ici(amerique) les claviers sont differentes et il n'y a aucun accent, donc bref je sais que c'est plus difficile a lire mais c'est comme ca!(T_T) Sinon j'espere quevous passez de bonnes vacances et que vous ne vous ennuyez pas trop!!Ce chapitre est de taille normale et j'ai reussit a retrouver quelques idees pour continuer (en esperant que ca vous plaira)

ps:j'ai ete voir un match de foot americain USA VS FRANCE... on a perdu 78-0...je ne dirai rien mais je pense vraiment que les francais ne sont bon qu'au rugby...(et encore XD)

Chapitre 10

             Edward se reveilla lentement, s'etirant de tout son long tout en restant bien au chaud sous la couverture. L'air lui semblait frais et il se recroquevilla en pause foetus. Il finissait lentement sa nuit quand Sarah entra en trombe dans sa chambre:

- Ed! reveil toi!

L'interresse grogna et attendit que sa soeur quitte la piece avant de feigner de lever. Elle ne lui avait pas parle d'une voix vraiment douce et calme mais plutot sur un ton dur et aigre, cela prouvait bien qu'elle ne lui avait pas encore pardonne de la derniere fois ou il avait frappe le mannequin au visage. Une boule se forma au niveau de sa gorge, lui aussi maintenant regrettait. Il avait decouvert une nouvelle partie de lui et lui avait pardonne tout ses differents. C'est incroyable mais vrai... soupira Edward, le plus etonnant etait qu'il le trouvait meme plutot beau garcon, seduisant, sexy, en meme temps il lui fallait bien ca pour etre mannequin. Il en arrivait presque a comprendre pourquoi toutes ces filles lui tournaient autour et seraient prete a se battre pour pouvoir le touche, ne serait-ce une seconde... Il se leva de son lit defait et se dirigea vers la salle de bain. Une fois fraichement lave, il pris la direction de la cuisine ou se trouvait deja Sarah, qui ne lui adressa aucun regard. Ce ne fut qu'une fois tourne vers le frigo, qu'elle deigna l'observer. Elle etait plutot etonne, son style vestimentaire la surprenais. Lui qui enfilais un vieux jean troue et une chemise delavee, aujourd'hui, en ce Lundi 23 septembre, avait opte pour un jean noir, une chemise blanche a manche courte ainsi qu'un veston s'accordant tres bien avec son bas. les seul fois ou elle l'avait vu comme ca avait ete pour des rendez vous avec de jolies filles ou la photo de classe... hum... il doit surement avoir une nouvelle "proie", pensa-t-elle. Il se retourna et elle replongea la tete dans son bol de chocapic.

           L'ancien rugbyman emporta une barre cerealee et pris le chamin du lycee. Le comportement de sa soeur commencait vraiment a lui tape sur les nerf, et il n'avait pas le courage de lui avouer que maintenant il ne le detestait plus autant. Il avait assez honte de son comportement changeant... on dirait une de ses filles qui tombe amoureuse de leur kidnappeur... hein? non mias moi je suis pas amoureux! et en plus il m'a pas kidnappe!, il continua son chamin en reflechissant a ses nouveaux sentiments naissant.
Il fut le dernier a rentrer en classe (comme d'habitude) et allait pour s'asseoir au fond quand la voix stridente de Mme Joncquille retentit comme une alarme:

- Mr. Jamy! je ne crois pas qu'aller au fond est une bonne solution pour travailler, et si vous veniez devant?
- Oh non pitie! pas la vieille...
- Qu'est-ce que vous avez dit?
- Rien.

Il se retourna et alla s'asseoir au premier rang, a la place que lui indiquait la vieille professeur aux cheveux gris. Le cours commenca et Edward sortit un crayon et une gomme. Il ecrivait rarement ses cours en anglais, connaissant ses facilites a parler. Il observa longuement la professeur qui vint s'appuyer, ou plutot s'ecraser sur son bureau pour mieux se soutenir. Elle continua son long monologue et Edward commenca son oeuvre.

- mr. Jamy!
- hein? quoi? fit Edward en sursautant.
- Je vous ai pose une question! mais vous vous trouvez peut-etre trop intelligent pour vous dispenser de mes cours?
- A vrai dire... c'est pas faux...
- Comment! vous voulez allez chez le directeur! et puis qu'est-ce que vous ecrivez depuis toute al'heure!? qu'est-ce que... Oh mon dieu!

La vieille dame lacha le cahier trop choquee par ce qu'elle venait de voir. Toute la classe se pencha au dessus de leur table et tout le monde put apercevoir la fameuse oeuvre du jeune homme: ce qui semblait une boule de loin, etait en fait une vache surplombe de la pauvre tete grisonnante de la professeur d'anglais.

- Vous etes vires! je vais vous faire un rapport!
CLAP CLAP CLAP, ces trois applaudissement reduit la classe au silence et tous se retournerent vers le fonc de la salle.
- C'est vraiment bien fait, bravo edward, je savais pas que tu etais si doues! lanca Angel debout, un sourire eclatant au visage.
- Mais qu'es-ce que... DEHORS!

Les deux jeunes gens se retrouverent devant le porte de la salle, leur sac en main avec un billet d'expulsion. Edward regarda son camarade qui souriait, et paraissait assez content de lui.

- Qu'est-ce qui t'a pris de dire ca? demanda Edwrad plutot choque du comportement insoucient du jeune homme.
- bah quoi? je n'ai fais que dire ce que je pensais... c'est normal non?
- Euh... oui si on peut dire, edward constata que le jeune homme etait vraiment trop insoucient et qu'il ne pouvait rien faire pour lui.
- En tout cas c'est vrai, c'etait tres bien... euh si tu me demqnde ca c'est parce que tu voulias pas que je sorte avec toi? Je croyais qu'on avais fait une sorte de paix tous les deux?
- Non non ce n'est pas pour ca, j'etais jutse etonne.
- Mais... tu m'en veux encore?
- Non, je ne sais pas comment j'ai fais mais je ne t'en veux plus... alors qu'avant, je peux te le dire, je te detestais!
- Content de te l'entendre dire! Bon puisque qu'on est en paix pourquoi pas aller boire un coup?
- Okay...

Ils repatirent en bavardant et Edward suivit Angel jusqu'au cafe du lycee ou il s'etait rencontre la premiere fois.

*****

             Alice attendait a la sortie du de la cafeteria, Angel ne l'avait pas attendu et elle avait ete obligee de manger toute seule pour la premiere fois de sa vie. Un sentiment d'humiliation lui tenaillait le ventre tandis qu'elle scrutait l'horizon afin de voir son mannequin cheri. Elle se decida a bouger au bout d'un qurt d'heure ne voyant pas le jeune homme arrive. Qu'est-ce qui lui a pris de dire ca a la prof!, mais malgre ca, elle le trouvait encore plus seduisant. Elle se mit a marcher avant de s'arreter d'un seul coup en voyant Angel adosse au mur du batiment en pleine conversation avec Edward, le fameux dessinateur. Elle passa devant eux et les salua en souriant, Mais derriere son visage d'ange elle enrageait de voir son beau et tendre l'oublier pour parler avec cet etre pertubateur.
              La premiere heure de l'apres midi prit fin et Alice courut vers Angel afin de remonopoliser son attention. Elle lui proposa d'aller marcher dans le parc en attendant la deuxieme heures. celui-ci ne trouva pas le courage de refuser malgre sa reticence de devoir se retrouver seul avec elle. Une fois dehors, elle commenca a parler encore et encore. Angel s'echappa msntelemnt de la conversation, essayant d'occuper son esprit avec d'autre moment plus interessant... comme son verre avec le jeune blondinet. C'etait comme si il s'etait toujours connu, deux jeunes ami de longue date parlant de sport, photographie, cinema... et il en passsait. Il s'etait montre vraiment sympa avec lui, rien a voir avec le jeune homme qu'il avait rencontrer pour la premiere fois l'annee derniere... comme quoi l'apparence change tout...
               Alice continua a parler, commencant le long recit de toute une vie, elle avait reflechit pendant tout le cours de physique afin de trouver different sujet interessant. Mais malgre son enthousiasme et sa volonte de bien faire elle constata que son ami ne s'interessait pas le moins du monde a ce qu'elle lui contait. Et le pire c'est qu'il ne cachait pas son indifference, il regardait meme alleurs sans lui accorder un seul regard... il avait son regard dans le vague et supportait sa tete de sa main droite. Alice balanca sa tete de part et d'autre essayant d'attirer desesperement son attention... ce qu'elle vit l'etonna, ou plut precisement la choqua: edwrad se tenait sur un banc face a eux, feignant de lire un journal auquel il ne s'interessait pas le moins du monde et profitait de cet objet pour se cacher et leur jeter des coups d'oeils furtifs... hein? mais c'est quoi ca!

- angel! regarde le mec de notre classe! il arrete pas de nous regarder!
- bah laisse c'est pas grave...

La sonnerie retentit et ils rentrerent dans leur batiment. Alice jeta un dernier regard derriere elle et put apercevoir clairement edward regarder la personne se tenant a ses cotes.

*****

            La journee etait finis et Angel devait encore se coltiner alice jusqu'a l'arret de bus. Le destin avait fait qu'ils prenaient le meme bus a la meme heure justement car ils etaient dans la meme classe... ca m'apprendra a trainer avec des filles.... Ils etaient sortis en avance et ca n'avait pas encore sonner. Ils etaient donc encore seuls sous l'abris bus, assis sur le petit banc de fer.

- Dis Angel? Qu'est-ce que tu penses de Edward, le mec qui t'a frappe la derniere fois et qui te regardait cette apres-midi? demanda Alice, pressee que celui-ci lui reponde qu'il le detestait pour pouvoir aller lui demander d'arreter de les suivre.
- Hum... Il est vachement mignon.
- Quoi!? deglutit Alice qui n'en revenait pas de ce qu'elle venait d'entendre, tu as dis quoi? que tu le trouvais mignon!
- Ouai, tu trouves pas?
- le porbleme n'est pas la...c'est un mec Mon chou...reveille toi!
- Et alors? Je vois pas ou est le probleme....
-hein?...tu...tu vois pas ou est le probleme? mais toi aussi tu es un mec!
- Ouai...tu sais j'ai rien contre les mec...surtout celui-la...il est tellement...enfin bref...
- Tu...tu es homo?!
- hum...bi.

La conversation ce stoppa net, afin de laisser le temps a alice de digerer ce qu'elle venait d'entendre. Son adorable, son dieu vivant... aimaient les hommes! Sur le coup, elle avait presque sentit son coeur s'arreter, comment ce faisait-il qu'un homme comme lui qui avait toutes les filles a ses pieds, ailles piocher dans les mec... c'etait tout simplement impensable... Noooon!!! se lamenta mentalement Alice. le pire etait qu'il n'avait pas l'air insensible aux charmes de l'autre imbecile... Elle soupira et expira bien fort avant de rouvrire les yeux et de fixer Angel avec son plus beau sourire.

- Tu sais ca m'a choquer au debut, mais ca ne me derange pas plus que ca en fait... tu aimes qui tu veux.

Angel lui renvoya son sourire et replongea dans ses pensees. Alice perdit son sourire et serra les dents. Jamais je ne laisseraient MON cheri tomber dans les bras de ce mec, il est a moi... a MOI!

*****

           Alice tournait en rond reflechissant a une idees geniales pour faire retourner son angel d'amour dans le bon chemin. Elle avait beau lui dire cela ne rimerait a rien, au contraire il lui en voudrait de ne pas accepter ses choix, non il lui fallait une solution naturelle et efficace... Mais oui je sais!, s'exclama alors Alice en sautant sur ses pieds. Elle saisit son sac et fila au lycee.
Elle arriva devant la salle et trouva Angel en train de parler a... Edward! Pourquoi est-ce qu'il venait toujours la gener comme ca! Ils semblaient tellement bien s'entendre, pour une fois qu'angel pretait attention a une conversation et qu'il souriait! Soudain son rival tourna la tete vers elle et lui lanca un regard provocateur au possible montrant bien qu'il gagnait du terrain sur elle. C'est inadmissible! Cet immonde blond vient vraiment de declarer la guerre!
Quand ils entendirent la sonneries, la jeune fille se jeta sur son Ange et l'entraina a l'ecart. Son plan etait simple, il suffisait juste de lui rappeler O combien Edwrad etait un mauvais garcon!

- Pourquoi est-ce que tu continu a lui parler!
- Il est mignon je t'ai dit et vachement sympa.
- Non mais... tu te rappelles pas la fois ou il t'a frapper?
- Si mais il s'est excuser...rien a craindre, c'est finit tout ca.

Alice resta bouche bee ne trouvant pas d'autres arguments. Rien n'avait fonctionne comme prevut, il fallait maintenant qu'elle execute son 2e plan...infaillible cette fois.

*****

             La jeune fille n'arretait pas de s'accrocher aux bras d'Angel et edward n'eut pas l'occasion de lui reparler de la journee. Comme lui avait dis son ami, elle etait collante, niaise, bavarde, et ininteressante... il se demandait a present comment il avait put un jour, la trouver attirante. Ils les vit s'asseoir et s'empressa de sauter sur l'ocasion et s'installa derriere eux, de sorte a entendre leurs converstions intrepides, telles que les qualifiait le mannequin.
De son cote, Alice avait bien vu que son rival etait venu s'asseoir derriere eux, et esperait bien qu'il essayerait d'ecouter la conversation. le cours commenca et elle tapa sur l'epaule de son voisin afin d'entamer la conversation.

- Angel...
- hum?
- Hum... et bien... je me demandais qu'est-ce que tu preferes, coucher avec les mec ou les filles?
- Hum..je sais pas... ca depend avec qui, pourquoi?
- Bien parce que si tu veux je peux essayer de te prouver que les filles ont toujours ete plus agreable au lit... ca te dis? demanda-t-elle d'un ton innocent.
- Hum...proposition interessante, je suis pas contre, tu es jolie...
- Oh! tu acceptes! bien alors rendez vous dans les vestiaires apres les cours, je te promets que tu ne sera pas decus...

*****

                Edward se pencha quand la prof se retourna, en voyant Alice taper sur l'epaule de son voisin et commencer a lui parler.

-... je peux essayer de te prouver que les filles ont toujours ete plus agreable au lit... ca te dis? demanda-t-elle d'un ton innocent.
- Hum...proposition interessante, je suis pas contre, tu es jolie...
- Oh! tu acceptes! bien alors rendez vous dans les vestiaires apres les cours, je te promets que tu ne sera pas decus...

                Edwrad n'en croyait pas ces oreilles, cette peste avait reussit a decrocher un rencart avec son ami, mais en plus cela etait beaucoup plus qu'un simple rencart. Quelle salope! cette fille est vraiment prete a tout pour arriver a ses fins, pensa-t-il. la jalousie lui rongea le ventre quand elle afficha se sourire satisfait et Angel repondre sans aucune hesitation a la porposition de la blondasse. Au fond de lui, ses sentiments etaient clair, il s'etait toujours considere comme un hetero pur et dure mais cela venait de changer depuis qu'il connaissait le mannequin, il ne pouvait plus se passer de le regarder...enfin, de l'admirer, et quand une personne s'approchait de lui, la jalousie envahissait tout son etre a en crever. Surtout quand s'etait cette fille! ...dans tout les cas, ce sentiment etait bien plus qu'une simple attirance. Alice avait peut-etre obtenue ce qu'elle voulait mais Edwrad etait sur que son ami n'allait pas vraiment le faire, pas apres ce qu'il lui avait dit sur elle, sur le fait qu'il ne la supportait pas et ainsi de suite. Il irait dans les vestiaires ce soir afin d'observer et de savourer le moment ou Angel lui avourait tout ce qu'il pense d'elle, jamais il ne coucherai avec elle, c'etait impossible, enfin, c'etait ce dont il essayait de se persuader. mmm Qui rira bien, rira le dernier...

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