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Maisuong's Blog
9 mai 2009

Sans visage [chap 1]

Bon bah voila je me suis remise au boulot pour commencer ma deuxieme(ou troisieme...) fic!
Je vous presente donc le chap 1 de "sans visage" (ouai je sais drole de nom...bizard toutes mes fic on un nom de m****)

Bref bonne lecture!!


CHAP 1:

             Comme à mon habitude j'arpentais les couloirs durant la pause déjeuner. Le soleil de l'été était trop fort et ma peau étant blanche et très sensible je n'avait aucune envie de cramer. Mes nuits précédentes étaient très agité et se terminaient souvent en nuit blanche. Mes cauchemars ne cessaient jamais depuis qu'il était là. Tout avait commencé un soir alors que je me préparais à partir.

- Louka? Je peux te parler après le cours?

- Euh oui.

La fin du cours approcha plus vite que prévu et nous nous retrouvâmes tous les deux. Je le voyait fermer les poings jusqu’à voir ses ongles couvert du sang de sa paumes. Je ne savais pas ce qui m’attendais à ce moment là. Si j’avais su je serai sûrement parti depuis longtemps.

- Tu sors avec quelqu’un Louka? me demanda-t-il en appuyant sur chaque syllabe de mon prénom.

- Non monsieur. Pourquoi?

- je t’aime, sors avec moi.

Son ton était tranchant et cela ressemblait plus à un ordre qu’à une demande. Je ne sut que dire devant une telle révélation, je n’avais jamais pourtant remarquer quoi que ce soit dans son attitude, il m’avait toujours regardé normalement, toujours comme un professeur pour son élève.

- Alors!?

Il ne parlait plus il criait presque. Je commençait à trembler. Il s’avançait vers moi de plus en plus près. Je reculai jusqu’à toucher le mur.

- mais... monsieur, je ne suis pas gay et je ne peux pas sortir avec vous, fis-je du voix tremblante.

                  Il ne semblait plus m’écouter et se jeta sur moi. Il me fit tomber à terre et s’étala de tout son poids sur moi. Je le vis défaire sa cravate et lier mes poignets avec. Je ne pouvais plus bouger et le regardai faire de moi ce qu’il voulait. Mon pantalon descendit le long de mes chevilles suivit de mon boxer. Son souffle se faisait de plus en plus entendre et je voyais déjà une bosse se faire dans son pantalon. Il plaça mon tee-shirt dans ma bouche et commença à lécher ses doigts. Terrifié je n’arrivai pas à trouver la force nécessaire pour crier. je le regardai faire comme un spectateur impassible. Ses doigts frôlèrent mon torse pour venir s’enfoncer en moi. Je n’avais jamais fait cela avant. Je l’avais déjà fait avec des filles mais le faire avec un garçon ne m’avait jamais attiré, si on m’avait dit que ma première fois serait avec lui... je remuais mes bras sans résultat n’arrivant qu’à obtenir des « oui, c’est bien bouge ton bassin ». Il s’approcha de moi et me pénétra d’un seul coup de toute sa longueur. Au bout d’un moment je me sentis sombrer; la douleur se faisait toujours sentir mais la force de me battre m’avait abandonnée. Je me contentai de fermer les yeux et d’attendre que ça se finissent. Je l’entendis soudain crier et un liquide couler le long de mes fesses. J’ouvrai les yeux et le vis au dessus de moi.

- Maintenant tu es à moi... personne d’autre que moi ne te touchera, tu ne criera que pour moi!

Une fois sa phrase finit je sentis ma tête virer sur le côté. La claque avait si forte que je voyais tout en noir. Je ne le vis pas se lever ni partir.

               Depuis ce jour là, je suis comme prisonnier. Je ne peux pas m’en sortir, je suis comme un animal blessé dans une cage. Personne ne me croirait, ni les autres professeurs, ni la police. Qu’avais-je pour le prouver: rien. La sonnerie retentit et je me dirigeai vers ma salle. L’art plastique avait toujours été mon points forts ce qui m’avait poussé à prendre l’art en option facultative. Nous rentrâmes en classe et je me plaçai au premier rang. D’habitude moi qui étais toujours au fond afin de dessiner tranquillement dans les autres cours c’était bien les seuls fois où je voyais le tableau de près. 

Le cours suivit tranquillement dans une ambiance chaleureuse. ce cours n’était pas comme les autres, nous pouvions parler, écouter de la musique, le principal était de rendre le travail demandé à la fin de l’heure. L’heure passa et je me retrouvais à errer dans les couloirs vides. Une ombres apparut et je me retrouvais plaqué contre la porte. Je vis une main s’avancer vers la serrure afin de l’ouvrir avec une clé passe partout. Il me poussa à l’intérieur avant d’ajouter:

- Bonjour Louka. Content de te voir, on va bien s’amuser.

La porte se referma sur moi et il tira la verrou.

**

             La nuit était presque tombé et je me trouvais encore dans les couloirs. Cette fois c’était une blonde qui n’arrêtait pas de me coller. Les filles étaient beaucoup plus excitées en été qu’en hiver, c’est ce que j’avais remarqué au fur et à mesure de mes escapades nocturnes au lycée. Mon statut me permettait de jouir des nombreux avantages du lycée. Je disposais ainsi aisément d’une clé pouvant accéder à toutes les salles et tous les bâtiments. La jeune fille de ce soir était plutôt du genre inthello mais cachait bien son jeu une fois avec un garçon. Sa façon de m’aguicher à la cantine était plutôt osée et vulgaire, mais je me fichais bien de leurs manières. Je ne prenais pas du bon temps avec des poufiasse pour le plaisir, je voulais juste me désennuyer. Je n’avais encore jamais connut une fille intéressante et sachant parlé sans vulgarité. J’étais peut-être vieux jeu mais je n’arrivais pas à me familiariser avec les nouvelles tendances comme les nouvelles expressions.

Je me contentai donc de lui soulever sa jupe comme pour les autres et de la faire crier jusqu’à l’épuisement. Elle me pria plusieurs fois de m’arrêter mais je faisais la sourde oreilles et continuais comme si de rien n’étais. Rien n’était comparable à l’autosatisfaction, ne jamais se soucier des autres, faire ce dont on a envie jusqu’à se lasser. c’est ce que je faisais. Soudain un cri parvint à mes oreilles. Un écho peut-être. Je m’arrêtai et écoutai un instant.

- Pourquoi tu t’arrêtes? me demanda la blonde sur un ton de reproche.

- Tu n’as rien entendu toi?

- Non rien du tout, allez continu.

Je laissais tomber et recommençai. A la fin je me vidai dans un soupir de soulagement et poussais la fille qui se trouvais sur mes genoux.

- Aie! ça va pas la tête!

- dégage.

- Quoi?! mais...

- dégage je te dis.

              Mon ton était sans appel ce qu’elle comprit très nettement. Elle rajusta ses sous-vêtements et s’en alla. Moi je remis ma veste et rabattait ma capuche sur mon visage. c’était assez étonnant mais ma capuche permettait presque de ne pas être reconnut. Elle me donnait un air à la darvador ne laissant voir que mes lèvres. J’utilisais souvent cette veste afin de faire mes petites balades nocturnes au cas où le principal ait décidé de veiller ce qui n’était ,heureusement, encore jamais arrivé. Je pressais mes pas afin de rentrer plus vite avant de m’arrêter net en entendant des pas. Je courut doucement vers les toilettes et me collai au mur le plus loin possible de la porte. Ce que je vis étais assez incroyable. Mr. Maë, mon professeur d’anglais tenait la main à un garçon du même que moi et que j’avais déjà croisé dans le parc. Je n’aurais jamais pensé que ces deux là puisse...

- Merci d’être passé Louka. On se revoit demain. Je viendrai chez toi, lui souffla-t-il près du visage.

Je vis le jeune brun partir en direction de l’escalier et Mr. Maë se diriger dans la direction opposée. Je ne serai sûrement plus jamais seul dans les couloirs maintenant.

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Commentaires
W
Coucou ! <- entrée en matière désastreuse XD<br /> Voila tu as laisser un com sur mon site alors ma curiosité m'a poussée a venir lire tes histoires donc je commence par celle-ci, et je dois dire que pour le moment elle me plait ! Le prof est un enculer de première et le garçon à la capuche Dark Vador est un petit saligot XD<br /> <br /> PS:Mr. Maë, mon professeur d’anglais tenait la main à un garçon du même( )que moi et que j’avais déjà croisé dans le parc. <- je crois que tu a oublié un mot.
C
c'est affreux, j'ai envie de vomir ...
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